@Mozart
J’ai bien peur que les chers amis soient en fait des amis de Poutine....
Le journal « Le monde » en live Ukraine, dévoile tous les jours sont lot d’information intéressante, telle celle ci qui a au moins le mérite de la franchise, et qui ne vous étonnera pas vraiment.
Prigojine a crée cette ferme à trolls, et les directives de missions sont celles qui ont inspiré bien des auteurs ici. Que ce soit pour encourager le Brexit, critiquer la présence française en Afrique, les opposants russes.....
Le patron de Groupe Wagner reconnaît avoir créé une « ferme à trolls » de propagande sur Internet
« Le patron du groupe paramilitaire russe Wagner, le sulfureux homme d’affaires Evgueni Prigojine, a reconnu mardi pour la première fois être le créateur d’une « ferme à trolls » payés pour mener des campagnes de propagande sur Internet.
Réputé proche de Vladimir Poutine, M. Prigojine a reconnu depuis le début du conflit en Ukraine l’an dernier une série de faits qui lui étaient imputés depuis des années. Il a ainsi admis être le fondateur du groupe de mercenaires Wagner, qui combat aujourd’hui en première ligne en Ukraine, ou encore avoir cherché à s’ingérer dans les élections américaines.
Mardi, il a reconnu avoir créé l’Internet Research Agency de Saint-Pétersbourg, une officine surnommée « la Ferme à trolls » par la presse russe et dont les employés ont été accusés de mener des campagnes de désinformation sur Internet au service du Kremlin. « J’ai non seulement été l’unique financier de l’Internet Research Agency, mais je l’ai inventée, je l’ai créée, je l’ai gérée pendant longtemps », a déclaré M. Prigojine, cité par son service de presse sur Telegram. Selon lui, cette ferme à trolls a été créée « pour protéger l’espace informationnel russe de la propagande grossière et agressive des thèses antirusses de l’Occident ».
L’Internet Research Agency a été accusée d’avoir mené, notamment par le biais de faux comptes sur les réseaux sociaux et journaux en ligne, des campagnes destinées à défendre la politique du Kremlin, critiquer les opposants russes, dénigrer la présence française en Afrique ou encore créer des polémiques autour du Brexit et des élections américaines. Washington avait sanctionné en 2018 plusieurs membres présumés de l’Internet Research Agency. »