La
compétence artificielle des zélites est une baudruche,
responsable
de la promotion de petits cons,
issus
des « grandes » écoles,
hostiles
à toute réussite qui leur échapperait.
À
l’aristocratie de l’ancien régime,
qui
fut une cible légitime des révolutionnaires de 1789,
a
succédé une aristocratie vicieuse et sournoise,
celle
de la compétence artificielle.
Comme
si les gueux ne pouvaient pas s’en apercevoir.
Labellisée
par les ‘grandes’ écoles, avec leurs écoliers interchangeables,
et
l’ena – sciences popo, sommets franchouillards de la plus minable
cuistrerie intellectuelle,
cette
aristocratie, évidemment illégitime, se sent menacée,
et
déploie toute sa novlangue, en influençant, de gré ou de force,
mais
sans aucune intelligence pratique du public des gueux,
les
merdiacrates serviles,
perroquets
ânonnant des éléments de langage sans substance,
dont
chacun repère immédiatement la répétition en écho partout.
Son
besoin absolu est d’écarter tous les gueux et de les confiner dans
leurs conditions aliénantes.
Parmi
leurs discours les plus abjects
« Le
cordonnier doit s’arrêter à la chaussure »
=>
circulez, vous n’êtes pas qualifiés pour réfléchir.
« On
ne peut pas tirer au sort un premier violon »
=>
l’orateur se prend pour un tel artiste, et ne peut même pas
comprendre que des candidats premiers violons existent partout, à
foison, pour toutes les missions.
« On
a besoin des entreprises »
=>
mais quelle tache de la vacuité écolo ! On n’a aucune nécessité
sur cette planète d’entreprises qui ont besoin d’esclaves
obligés de « gagner leur vie ».
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