@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
Comme à l’habitude les dirigeants ALLEMANDS remettent les pieds et les couverts sur les lieux de leur massacre , sans une certaine arrogance .
https://reseauinternational.net/le-president-namibien-recadre-un-representant-allemand-a-propos-de-la-chine/
par Amar Djerrad
La chaîne YouTube africaine 2nacheki a mis en ligne une vidéo
de 2018 (en anglais) montrant le président namibien en train de
recadrer un ex-président du parlement allemand. Les deux hommes
politiques discutent de la présence de la Chine en Namibie.
Une vidéo refait surface sur les réseaux sociaux, où Hage Gottfried
Geingob, président namibien, remet à sa place Norbert Lammert, président
de la Fondation Konrad-Adenauer et ex-président du Parlement allemand.
Elle a été récemment mise en ligne par la chaîne YouTube africaine
2nacheki et par d’autres médias sur Twitter et YouTube.
Lors de cette rencontre, qui a eu lieu en novembre 2018, Lammert a
fait une remarque au chef d’État namibien, selon laquelle il y aurait
quatre fois plus de Chinois que d’Allemands en Namibie, contrairement à
ce qu’il se passe dans d’autres parties du monde. « Quel est votre problème avec cela ? Cela ressemble plus à un problème européen qu’au nôtre », a rétorqué Geingob.
Le président namibien a noté que ses concitoyens, y compris les
diplomates, étaient harcelés en Allemagne alors que les Allemands ne
rencontraient aucun problème en Namibie. « Pourquoi parlez-vous des
Chinois ? Parlez plutôt des Allemands, de votre manière de nous traiter
là-bas. Les Chinois ne nous traitent pas comme ça », a poursuivi
Geingob. À chaque fois que les Européens viennent, ils parlent des
Chinois, a déploré le chef de l’État. Et de préciser que des Chinois
venaient en Namibie pour investir.
En février dernier, le président Geingob a rencontré Zhao Weiping,
nouvel ambassadeur de Chine. Le chef d’État a déclaré que la Namibie
comptait sur une implication accrue des entreprises chinoises dans la
croissance de son secteur de l’énergie verte, en particulier de
l’hydrogène vert, selon le journal Namibia Economist.