Ukraine : les dirigeants occidentaux admettent en privé la défaite inévitable
La France et l’Allemagne suggèrent à Zelensky d’envisager des pourparlers de paix avec Moscou
Les dirigeants occidentaux ont déclaré en privé au président ukrainien Volodymyr Zelensky que l’Ukraine ne peut pas gagner la guerre contre la Russie et qu’elle devrait entamer des pourparlers de paix avec Moscou cette année en échange de liens plus étroits avec l’OTAN.
(Département d’État américain)
Ces communications privées sont en contradiction avec les déclarations publiques des dirigeants occidentaux qui affirment régulièrement qu’ils continueront à soutenir l’Ukraine aussi longtemps qu’il le faudra jusqu’à ce qu’elle remporte la victoire sur le champ de bataille.
Le Wall Street Journal, qui a rapporté les remarques privées à Zelenksy, a déclaré :
« La rhétorique publique masque des doutes privés de plus en plus profonds parmi les politiciens du Royaume-Uni, de la France et de l’Allemagne quant à la capacité de l’Ukraine à expulser les Russes de l’est de l’Ukraine et de la Crimée, que la Russie contrôle depuis 2014, et la conviction que l’Occident ne peut aider à soutenir l’effort de guerre qu’un certain temps, surtout si le conflit s’installe dans une impasse », indiquent des responsables des trois pays.
« Nous ne cessons de répéter que la Russie ne doit pas gagner, mais qu’est-ce que cela signifie ? Si la guerre se poursuit suffisamment longtemps avec cette intensité, les pertes de l’Ukraine deviendront insupportables », a déclaré un haut fonctionnaire français.
« Et personne ne croit qu’ils seront capables de récupérer la Crimée ».
Le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz ont dit à Zelensky, lors d’un dîner à l’Élysée au début du mois, qu’il devait envisager des pourparlers de paix avec Moscou, a rapporté le Journal.
Selon sa source, le journal cite Macron qui aurait dit à Zelensky que « même des ennemis mortels comme la France et l’Allemagne ont dû faire la paix après la Seconde Guerre mondiale. »
M. Macron a dit à M. Zelensky « qu’il avait été un grand chef de guerre, mais qu’il devrait éventuellement passer à la politique d’État et prendre des décisions difficiles », rapporte le journal.
Un retour au réalisme
Lors de la conférence sur la sécurité de Munich la semaine dernière, le général Petr Pavel, président élu de la République tchèque et ancien commandant de l’OTAN, a déclaré :
« Nous pourrions nous retrouver dans une situation où la libération de certaines parties du territoire ukrainien pourrait entraîner plus de pertes en vies humaines que ce qui est supportable pour la société. … Il y aura peut-être un moment où les Ukrainiens pourront commencer à envisager une autre issue. »
Même lorsqu’il était commandant de l’OTAN, Pavel était un réaliste à l’égard de la Russie. Lors des « jeux de guerre » controversés de l’OTAN avec 31 000 soldats aux frontières de la Russie en 2016 – la première fois en 75 ans que des troupes allemandes ont retracé les étapes de l’invasion nazie de l’Union soviétique – Pavel a rejeté le battage médiatique sur une menace russe pour l’OTAN.
M. Pavel, qui présidait à l’époque le comité militaire de l’OTAN, a déclaré lors d’une conférence de presse à Bruxelles que « l’objectif de l’OTAN n’est pas de créer une barrière militaire contre une agression russe à grande échelle, car une telle agression n’est pas à l’ordre du jour et aucune évaluation du renseignement ne suggère une telle chose. »
Le ministre allemand des affaires étrangères de l’époque, Frank-Walter Steinmeier, a également fait preuve de réalisme à l’égard de la Russie en déclarant :
« Ce que nous ne devons pas faire maintenant, c’est enflammer davantage la situation par des manœuvres de sabre et de bellicisme. Quiconque croit qu’un défilé symbolique de chars à la frontière orientale de l’alliance apportera la sécurité se trompe. »
Au lieu d’une position agressive de l’OTAN à l’égard de la Russie qui pourrait se retourner contre elle, M. Steinmeier a appelé au dialogue avec Moscou. « Nous sommes bien avisés de ne pas créer de prétextes pour renouveler une vieille confrontation », a-t-il dit, estimant qu’il serait « fatal de ne chercher que des solutions militaires et une politique de dissuasion ». Sous la direction des États-Unis, l’OTAN n’a manifestement pas suivi ce conseil, puisqu’elle a continué à déployer davantage de troupes en Europe orientale et à armer et entraîner l’Ukraine (sous couvert de faire semblant de soutenir les accords de Minsk).
Avant son intervention en Ukraine, la Russie a cité l’expansion de l’OTAN vers l’est, le déploiement de missiles en Roumanie et en Pologne, les jeux de guerre près de ses frontières et l’armement de l’Ukraine comme des lignes rouges que l’Occident avait franchies.
Après un an de guerre, les dirigeants occidentaux semblent maintenant se tourner vers une approche réaliste. Macron, par exemple, lors de la conférence sur la sécurité de Munich, a rejeté toute discussion sur un changement de régime à Moscou.
Aucune réaction des États-Unis
Washington n’a pas commenté l’article du Journal sur les pourparlers de paix contre les armes.
Le mois dernier, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a discuté avec le Washington Post de l’armement de l’Ukraine après la guerre, mais il n’a pas dit que l’Ukraine devait rechercher des pourparlers de paix.
« Nous devons réfléchir – et nous le faisons – à ce à quoi ressemble l’avenir de l’après-guerre pour garantir la sécurité et la stabilité des Ukrainiens et la sécurité et la stabilité en Europe », a déclaré M. Blinken lors de la conférence de Munich.
La proposition de rapprocher l’Ukraine de l’OTAN encore plus qu’elle ne l’est déjà, avec un plus grand accès aux armes après la guerre, devrait être à l’ordre du jour de la réunion annuelle de l’OTAN en juillet, a déclaré Rishi Sunak, le premier ministre britannique, lors de la conférence de Munich.
« Le sommet de l’OTAN doit déboucher sur une offre claire pour l’Ukraine, également pour donner à Zelensky une victoire politique qu’il pourra présenter chez lui comme une incitation aux négociations », a déclaré un fonctionnaire britannique au Journal.
L’accord avec l’OTAN n’inclurait pas l’adhésion avec la protection de l’article 5, selon le journal. « Nous aimerions avoir des garanties de sécurité sur le chemin de l’OTAN », a déclaré Zelensky lors d’une conférence de presse vendredi.
Entre-temps, M. Macron, selon le rapport du WSJ, a déclaré que l’Ukraine devait poursuivre une offensive militaire pour reconquérir des territoires afin de pousser Moscou à la table des négociations.
La proposition n’a suscité aucune réaction de la part de Moscou. L’analyste politique Alexander Mercouris, dans son reportage vidéo de samedi, a déclaré que la Russie serait probablement incitée à poursuivre les combats plutôt qu’à entamer des pourparlers de paix, sachant que l’Ukraine serait lourdement armée par l’OTAN après la guerre.
« Les Russes ne seront jamais d’accord avec quelque chose comme ça », a déclaré M. Mercouris.
« Ils doivent se dire qu’au lieu d’accepter ce plan, il est en fait plus logique (…) de poursuivre cette guerre car l’un des objectifs [de la Russie] est la démilitarisation totale de l’Ukraine. »
Ce que les puissances occidentales proposent est tout le contraire, a-t-il dit. Étant donné que la Russie considère qu’elle est en train de gagner et « qu’il semble que les gouvernements occidentaux reconnaissent généralement que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre, … où est l’intérêt pour … la Russie d’envisager ce plan ? »
Pour Moscou, a déclaré M. Mercouris, la démilitarisation de l’Ukraine est une « question absolue, existentielle ».
Si l’Ukraine reçoit de l’OTAN des armes encore plus perfectionnées après la guerre, par rapport à ce qu’elle recevrait « alors que la guerre est toujours en cours, il est encore moins logique » que la Russie « arrête la guerre et accepte ce plan ».
La Russie fait face à un « adversaire qui s’affaiblit maintenant », a déclaré M. Mercouris, et Moscou préfère clairement cela à faire face à un « adversaire renforcé plus tard ».
Dans un contexte de tensions géopolitiques intenses, pensez à la sécurité de votre famille :
Source : ZeroHedge
67 réactions à cet article
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il nous vend du self defense maintenant le GP...
On peut payer en BTC ??
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Les dirigeants français et allemands sont conscients que leurs opinions publiques respectives sont les moins va-t’en guerre d’Europe, c’est pour ça qu’une partie de leur communication est destiné à les neutraliser en pondant des messages contradictoires par ci par là, mais ce n’est que de la communication..
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Les résultats probants sont l’arrêt total de la dynamique de coopérations entre l’UE et la Russie, et la preuve de son incapacité à proposer une autre voie que celle dictée par l’OTAN. Cette possibilité de croissance exceptionnelle était devenue insupportable, avec les livraisons de matières premières russes à domicile, en Allemagne, première perdante de ce marché. Erdogan doit s’en féliciter. Quoi qu’il se passe dorénavant, la Chine s’est aperçue de ce qu’il pouvait lui arriver si la Russie montrait des signes de faiblesse, difficile à oublier. Quant à l’UE, elle a démontré sa vacuité diplomatique, pour longtemps.
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Lorsque les mondialistes n’auront plus rien, ils seront heureux ! Or comment ne pas désirer rendre ces gens heureux ?
Je ne fais que reprendre leur propre doctrine pour la leur appliquer.
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Il y a le risque que la libération de ces territoires nécessite en effet un engagement direct dans la guerre des forces militaires des pays qui soutiennent l’Ukraine, et cela entre clairement en contradiction avec la volonté de ces pays de ne pas provoquer une escalade du conflit en guerre mondiale ou nucléaire.
Voilà pourquoi je pense que les alliés de Zelinsky ne sont pas sincères lorsqu’ils lui assurent de partager ses objectifs.
Je pense, comme l’ont démontré les accords de Minsk, que les européens sont prêts à négocier une partie du territoire ukrainien pour assurer la paix à leurs frontières.
Ce sont les USA qui ont le plus intérêt à vouloir une défaite de la Russie. Mais ils sont limités par la même peur d’une escalade du conflit.-
@logan
Les américains se contenteront d’un affaiblissement des forces russes par attrition, et de la non-reprise en main de la totalité de l’Ukraine dans le giron russe. La Russie se satisfera d’un agrandissement territorial. Chacun pourra avoir son narratif victorieux. -
@Eric F apparemment vous n’avez pas lu l’article. La Russie, depuis 2008 de mande la démilitarisation de l’Ukraine, sa neutralité. C’est clair non ! Elle l’a fait depuis les accords de Minsk. ELLE FERA PIÈCE A TOUTE TENTATIVE AUTRE !
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Tout le monde veut ignorer qu’il s’agit d’une guerre civile entre deux groupes, les gens de culture russe et les autres dont Zelensky n’est qu’une composante. La Russie ne cédera rien. En 2024 sa croissance économique sera supérieure à celle de l’Europe. La messe est dite. La diplomatie européenne s’est discréditée et nos élites aussi. Il sera intéressant de voir comment Macron va dire à tout le monde, je vous l’avais dit, alors qu’il est l’un des principaux responsables de la situation. Il lui était possible, mais il n’eut pas le courage, de lier le support de la France à l’application des accords de Minsk quand il était encore temps.
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@BERTHIER SERGE
C’est pas qu’on veut l’ignorer, c’est parce que c’est juste faux. Les guerres ce sont les dirigeants qui les décident, ce ne sont jamais les gens du bas, et certainement pas pour des questions ethniques. -
Wiwi, ça fait maintenant une année que la Russie gagne cette guerre rapide d’invasion de l’Ukraine.
Sinon, y’a un nouveau comique russe, Lavrov de son petit nom, qui fait rire jusqu’en Inde :
https://www.koreus.com/video/serguei-lavrov-clown.html
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@Astrolabe vous regardez trop LCI ou BFM TV. La RUSSIE n’a JAMAIS eu l’intention d’envahir l’Ukraine ! C’est un mythe des médias occidentaux. Son opération du début n’avait pour but que de menacer Kiev pour les inciter à réviser leur point de vue. Il avait aussi un autre but (Maskirovska ). Ils ont sous-estimé la dépendance de Kiev aux US. Ils ont décidé de prendre un autre chemin : la destruction de l’armée ukrainienne.
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Même BFMWC reconnaît la défaite de Bakhmut, qu’est-ce qui leur arrive ? Ils sont au bout du rouleau et ne réussissent plus à dissimuler la réalité ?
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« Washington s’oppose à une rencontre entre Poutine et Zelensky, selon Ankara.
L’administration américaine souhaite que le conflit en Ukraine perdure. C’est pourquoi les États-Unis empêchent la tenue d’une rencontre entre les dirigeants russe et ukrainien. Tel est l’avis d’un conseiller du Président turc, lequel se dit prêt à se faire intermédiaire en la matière.
Les États-Unis sont intéressés à prolonger toujours plus le conflit en Ukraine et s’opposent donc à la rencontre, voulue par le Président turc, entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. C’est ce qu’a déclaré à Sputnik Cagri Erhan, membre du Comité présidentiel turc sur la sécurité et la politique étrangère. »On nous aurait menti ? L’Ukraine ne serait pas un état souverain ?
Source Erwan Castel https://t.me/s/ErwanKastel
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@Nowhere Man
C’est évident qu’ils veulent que la guerre continue, puisqu’ils disent :
« entamer des pourparlers de paix avec Moscou cette année en échange de liens plus étroits avec l’OTAN. »
Ce qui veut dire :
« entamer des pourparlers de paix avec Moscou cette année ET EN MÊME TEMPS continuer à exiger l’implantation de bases américaines à 500 km de Moscou. ».
Or le premier motif de guerre de la Russie est de s’opposer à ce que l’OTAN s’installe en Ukraine, et d’exiger qu’elle devienne neutre. -
@Et hop !
Alors si c’est le 1er objectif, en quoi cette guerre permettrait de l’atteindre ?Cette guerre conduit à un sentiment d’insécurité pour les pays voisins de la Russie et leur font voir la Russie comme une menace potentielle. C’est le meilleur moyen pour les pousser à rejoindre l’Otan pour se protéger.
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@Et hop !
Donc la négo devra trouver le compromis entre ’’liens étroits avec l’OTAN’’ mais sans adhésion ni bases militaires américaines sur son territoire. -
@logan
Vous êtes toujours aussi naïf, vous. La Russie se fout comme de l’an 40 du sentiment d’insécurité déjà très ancien des pays baltes et de la Pologne. Elle y est habituée. Elle ne pense qu’à SA sécurité ! Est ce que vous avez compris ? Et elle fera TOUT, je dis bien TOUT, pour l’assurer ! Avez vous pigé ? -
Article assez intéressant même s’il est évident que les occidentaux savaient déjà la guerre perdue depuis bien plus longtemps que le maintenant.
Comment faire une guerre qui ne peut pas être mal perçue apr les civils ... utiliser les forces armées et les forces vives d’une nation contre l’ennemi héréditaire depuis ... 1917.
L’histoire est complexe mais elle possède des éléments qui confirme les tendances d’aujourd’hui. L’ukraine ne pouvait absolument rien gagner dans une confrontation militaire, si ce n’est caché ses propres salles de tortures ukrainiennes utilisées contre les russophones du Donbass en les attribuant aux russes.
Après plus d’une année de propagande mortifère, les occidentaux se rendent compte que l’Ukraine mais aussi l’occident a perdu face à la Russie. Ce qui montre les limites de notre volonté hégémonique.
Maintenant, la Chine va pouvoir jouer sur du velours sur les aspects industriels et économiques, ce qui rejoint en fait toutes les remarques faites par ces deux pays dans le cadre de l’entente internationale des pays émergents (BRICS) qui avait déjà fait état de notre inconsistance occidentale.
A savoir qui sera isolé à la fin d’un tel bras de fer ...
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L´Occident n´a pas de choix sinon que d´accepter la victoire de la Russie.
Dès le début de cette guerre, la victoire Russe était déjá programmée, ce qui reste á la Russie maintenant á faire c´est d´aller jusqu´á KIEV terminer le travail commencé.
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@microf
et d’appliquer enfin les accords de Minsk :
— cessez-le feu,
— démilitarisation de l’Ukraine,
— adoption d’une constitution fédérale type suisse,
— adoption d’un statut de neutralité de type suisse,
— droit à l’autodétermination des provinces russophones.+ condamner les USA et la GB a payer toutes les reconstructions.
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@Et hop !
Bonjour , vous n’ etes pas sans ignorer que zelensky à déjà donné l’ exclusivité de la reconstruction à Blackroc ! -
@Et hop !
Bien dit.
Après l´opération militaire Russe en Ukraine, les Russes ont certainement un plan pour l´Ukraine, ils vont l´appliquer. -
@microf
’’aller jusqu´á KIEV terminer le travail commencé’’
Ca a foiré l’année dernière, alors que l’Ukraine n’avait pas reçu les armes qui lui ont été fournies depuis. Il reste l’option de bombardements massifs, mais ça ne permet pas de se concilier la population du pays que l’on souhaite reprendre en main -l’Ukraine n’est pas la Tchétchénie-. -
@Eric F
Vous avez raison l´Ukraine n´est pas la Tchéchénie, car en Ukraine, la Russie se bat contre la Communauté International au budget militaire impressionant au moins 50 fois supérieur á celui de la Russie, et cela m´étonne même que cette Communauté International au budget militaire 50 fois supérieur á celui de la Russie n´a pas encore vaincue la Russie.
Toutefois après les échecs de la Russie, la Russie a changé sa tactique, et vous devriez certainement être au courant de ce qui se passe dans la ville de Bakhmout... Cette nouvelle tactique de la Russie va lá mèner cette fois-ci á Kiev sans problème, alors, ce sera la fin, et vous et moi commenterons sur d´autres sujets, plus sur l´Ukraine, sinon pour dire comment la Russie est entrain de bien reconstruire l´Ukraine, comment les Ukrainiens regrettent d´avoir suivis l´Occident dans cette campagne contre la Russie, comment les Ukrainiens quittent en masse l´Occident et rentrent chez eux, comment ils embrassent les Russes de les avoir sauvés de l´occupation de leur pays par l´Occident, ect, etc, etc.
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@microf
En effet, les forces russes ont conquis Bakhmut mètre par mètre dans une campagne qui dure depuis huit mois, c’est assurément une victoire symbolique. Mais à ce rythme ils seraient à Kiev dans dix ans.Le budget militaire de l’occident est loin d’être embrigadé en totalité dans cette guerre, et c’est heureux car ce serait un conflit mondial, mais cela veut dire qu’il y a un potentiel d’escalade au delà de celui de la Russie, c’est donc un dead lock sur le plan militaire, il faut une issue de compromis diplomatique.
Les Ukrainiens qui embrassent les Soviétiques de les avoir sauvé de l’occupant s’applique à 1945, mais ce sont les Russes les forces d’occupation en 2023, largement détestés désormais par la population ukrainiste.
Ceci étant, il est exact que cela a été une erreur d’avoir entamé l’intégration de l’Ukraine dans les instances occidentales, prémices de déstabilisation des fragiles équilibres régionaux. -
https://reseauinternational.net/linquietant-vide-politique-francais/
par h16
Les rumeurs insistent, les bruits de couloirs républicains circulent, radio-moquette persiste : 2027 approche un peu et il y aurait déjà comme des velléités de candidatures présidentielles dans la tête de plusieurs personnalités gouvernementales…
D’ailleurs, à en croire la presse (croyez la presse, elle a amplement démontré sa crédibilité, n’est-ce pas), plusieurs poids lourds politiques pensent à l’échéance électorale de 2027 en se rasant : au début de cette année, Le Monde, quotidien de révérence, évoquait l’ambition présidentielle d’un Bruno Le Maire toujours aussi à l’aise pour dire des âneries. Manifestement, l’envie d’exterminer ce qui reste d’économie française voire d’étendre sa puissante incompétence à toute l’Europe semble titiller l’actuel locataire de Bercy.
Au début du mois de février, c’était Ed, l’épicier du premier quinquennat Macron, qui déclarait préparer quelque chose dans ce sens, sans toutefois confirmer une quelconque candidature.
Et voilà que le Figaro, au moins aussi solidement informé que les autres, évoque à présent « l’hypothèse Castex », peut-être pour rappeler aux Français que ce rond-de-cuir incolore, inodore et sans-saveur fut un jour Premier ministre d’un pays en pleine déroute sur tous les plans.
On devra s’étonner (un peu) de cette curieuse avalanche de candidatures alors qu’on est tout de même à plus de quatre ans des prochaines élections et que 2027 semble encore fort loin pour se lancer dans la course, indépendamment de l’aura phénoménale et du charisme redoutable de ces trois candidats putatifs.
En creux, on pourrait s’interroger sur ce besoin d’ouvrir, déjà, les spéculations sur le remplaçant à un Macron qui prétendait du reste être passé récemment par une phase de dépression très grave (le pauvre lapin). L’actuel occupant de l’Élysée se rendrait-il compte que le parlement n’est plus intégralement à sa botte, que le pays grogne ou que tout ne se déroule pas comme prévu avec un peuple subjugué et des administrations « en marche » dans la direction qu’il désirait ?
Il sera difficile de spéculer vraiment ; il semble évident que Macron apparaît de toute façon diminué sur la scène nationale, ne disposant d’aucune marge de manœuvre réelle tant l’opinion publique est volatile à son sujet, ni sur la scène internationale où il passe maintenant, quasi ouvertement, pour un charlot méprisé d’un nombre croissant de dirigeants étrangers. Néanmoins, pour le moment, il lui reste dans les textes encore quatre looOoongues années à remplir et même s’il n’est pas impossible qu’il choisisse une démission ou qu’un événement l’oblige à quitter le pouvoir, pour le moment, il va devoir les faire.
Dans ce contexte, la bousculade de candidats potentiels relayée par une presse un peu trop gourmande inquiète plus qu’elle n’amuse ou ne consterne surtout parce qu’on retrouve maintenant avec les deuxièmes voire troisièmes couteaux de la politique, et pas les plus affûtés du râtelier loin s’en faut.
Il faut dire que la Macronie peine à recruter des cadors ou même simplement des gens intéressants, cohérents ou complets. Ce qui se traduit du reste dans les adhésions au parti, en chute libre, et dans l’absence de têtes d’affiche : il suffit pour s’en convaincre de se rappeler des difficultés pour trouver un Premier ministre, et voir ce qu’on a récupéré.
D’un autre côté, il faut constater qu’il en va de même dans les autres partis : entre les Tuches au parlement et les résidus républicains au passif, là encore, particulièrement gratiné, il est difficile d’entrevoir l’étoffe d’un chef, ou même d’un « lider minimo ».
Les verts comptent officiellement pour des prunes, et leurs couinements féministo-gaïa compatibles, s’il permettent de mettre en avant des têtes d’affiches, imposent de classer ces dernières dans la catégorie des cas psychiatriques, encore bien plus franchement que les actuels dirigeants pourtant déjà bien atteints dont nous devons subir les accès de folie à chaque soubresaut de l’actualité. Les clowns actuels étant devenus progressivement rédhibitoires, il est évidemment acadabrantesque d’imaginer les ayatollahs écofascistes décrocher l’assentiment d’une majorité de français surtout alors que leurs politiques idiotes commencent tout juste à faire effet sur le niveau de vie des électeurs.
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- Publié le 3 mars 2023
- Géopolitique Profonde
https://geopolitique-profonde.com/articles/jfk-discours-scelle-destin
« Ma conscience ne me permet pas d’aller aussi loin pour tirer sur des gens qui ne m’ont rien fait. Les Vietcongs ne m’appellent pas un putain de nègre… comme certains le font ici dans mon pays. Je n’irai pas au Vietnam pour me battre pour les puissants États-Unis.
– Mohammad Ali, 8 mai 1967.Parmi les personnes que les Américains étaient censés haïr figurait Martin Luther King, non seulement parce qu’il était considéré comme un rouge, mais aussi parce qu’il avait l’audace de souligner que le gouvernement américain était devenu le plus grand pourvoyeur de violence au monde. Ils l’ont détesté pour cela, tout comme ils ont détesté Mohammad Ali, qui a osé remettre en question leur guerre contre les Rouges au Vietnam. C’est pourquoi ils ont ciblé les deux hommes pour les détruire.
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Ce qui est stupéfiant, c’est qu’il y ait encore autant de crétins d’électeurs en France !
Enfin, depuis 1945, les Etats-Unis n’ont qu’une seule idée fixe, qui tourne à l’obsession : faire en sorte de transformer le continent européen en un désert industriel, et les 27 pays de l’Union Européenne en autant de pays du Tiers-Monde !
Et pour cela, quoi de mieux que de provoquer un conflit en Ukraine, à l’aide des britanniques et des polonais, et obliger la Russie à intervenir pour défendre ses ressortissants dans le Donbass et en Crimée ?
Ainsi, la Russie sera définitivement fâchée avec l’Union Européenne, et ne représentera plus un danger commercial pour la merde américaine de l’armement, et Washington pourra se servir de ces nouveaux esclaves à son gré !
Un gamin de 6ème aurait compris ce « piège à cons » grossier, mais malheureusement il n’y a pas de gamins de 6ème à l’Assemblée Nationale !
La France n’a pas la légitimité de l’ O.N.U. pour intervenir en Ukraine, pour plusieurs raisons : 1°) l’Ukraine ne fait partie, ni de l’ O.T.A.N., ni de l’Union Européenne 2°) A ma connaissance, il n’appartint pas au président de la République de décider d’une guerre. Seuls l’Assemblée Nationale et le Sénat réunis en Congrès peuvent engager la France dans un conflit, surtout quand il peut nous mener à une guerre mondiale
Herr Macron, l’Obersturmbannführer qui veut nous lancer dans une bataille perdue d’avance, depuis sa Kommandantur de l’Elysée, joue au « Docteur Folamour » et ça risque de nous coûter très cher !
Allez plutôt sur le site de François Asselineau, si vous voulez savoir quel homme politique exceptionnel vous avez loupé ( interdit des plateaux-télé, sur ordre du führer ).
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@yakafokon=La France n’a pas la légitimité de l’ O.N.U. pour intervenir en Ukraine, pour plusieurs raisons :....=Si, la légitimité de l’article 51 de la charte de l’ONU. C’est d’ailleurs la première des raisons qui fait que plus de 50 pays apportent une aide militaire et civile aux Ukrainiens pour résistyer et se libérer de l’agression russe de V V Poutine.
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« les dirigeants occidentaux admettent en privé la défaite inévitable » Celle de l’Ukraine n’est ni documentée ni prouvée par des affirmations officielles ou off the record..... Celle de la Russie est plus que souhaitée, pour au moins le retour des armées russes en Russie, dans les frontières de 2013.
La Fédération de Russie porte l’ambition et le comportement d’un empire impérialiste et colonisateur. C’est devenue visible de tous et de partout. Ex. : « la Russie n’a pas de frontières. L’Ukraine n’existe pas. L’Ukraine est une erreur de l’histoire. »
Depuis 2014, l’invasion / tentative d’annexion de V V Poutine rencontre des problèmes. Le problème majeur est que la volonté de résistance du peuple ukrainien est celle d’un pays qui fait Nation.
C’est pour cela, entre autres, que l’Ukraine survivra à la chute de la Fédération de Russie qu’aura déclenchée inconsidérément V V Poutine. Envisageable dès mars 2022, puis devenue possible à l’été 2022, cette chute commence à devenir probable à partir de mars 2023.
Beaucoup de signes l’annoncent, sans que cela soit encore assuré. Les Russes de V V Poutine ont encore de quoi apprendre de leurs nombreuses erreurs. Mais ils apprenent moins vite que les occidentaux. Ex. : la NATO est passée de la mort cérébrale à un réveil musclé en moins de 3 mois !!!!!
La façon dont les chefs russes dirigent leurs subordonnés, dans l’armée et ailleurs ,laisse,voir qu’une révolte selon le scénario 1917 devient de plus en plus probable. Mais il n’est pas encore assuré à la date de mars 2023.
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@DACH
Vous avez oublié le « E «
Lancez donc une fatwa contre la Russie et particulièrement Poutine, vous avez 60 % d’ embrayages avec vous ... -
@karibo=On vous laisse enfermé dans votre religion des fatwas !!!! Le simple enjeu que vous ne voyez pas : tout un peuple veut choisir librement son destin, avec l’obligation du moment de se défendre d’être asservi à la Russie de V V Poutine. Ils n’en veulent pas, et vous n’y pouvez rien.
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@DACH Excusez moi du peu mais le ressenti ne fait en aucun cas parti de sources fiables , on pourrait même croire que vous oeuvrez pour « La Pravda » ...un comble Non ? allez un petit lien ne peut pas faire de mal : https://ok.ru/video/3874422786623
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@DACH
On ne sait pas ce que les dirigeants occidentaux disent en privé, mais nul ne s’illusionne sur la moindre chance que les forces ukrainiennes récupèrent la Crimée et les républiques séparatistes, où la population lui est de toute façon majoritairement devenue hostile.
Forcément l’objectif affiché ne peut être que ’’la victoire’’, restera après coup à définir les contours de ce qui pourra être présenté comme tel. Une autodétermination dans les ’’territoires disputés’’, sous égide internationale, pourra définir ces contours. -
@Eric F
"On commence par grignoter, disons, l’Est de l’Ukraine, puis on obtient une trêve. Cela permet de consolider les gains territoriaux et de reprendre des forces : les grandes entreprises internationales y trouvent un bon prétexte pour revenir en Russie (qu’elles sont peu nombreuses à avoir quittée en réalité), alors qu’aucune d’entre elles ne prendra le risque de revenir en Ukraine dans ces circonstances. Et cela crée des conditions favorables pour de nouvelles avancées de la Russie en Ukraine.
Et très vite commenceront à s’élever des voix en Europe qui diront : « Finalement, c’était leurs terres, ils se sont mis d’accord, tout est bien qui finit bien ». Mais attention, si ce sont « leurs » terres parce qu’on y parle russe, que faire avec l’Est de l’Estonie ? On me répondra que l’Estonie c’est l’OTAN. Mais est-ce que l’OTAN va entrer en guerre pour défendre l’Estonie ? Poutine est persuadé que s’il choisit bien son moment pour mettre à l’épreuve l’article 5 du Traité de l’Atlantique-Nord, l’OTAN va se désagréger. Pour une raison très simple : « Ils savent qu’ils nous ont pris quelque chose qui ne leur appartenait pas et dès que la menace deviendra un peu sérieuse ils se dégonfleront et ne se battront pas pour défendre ce qu’ils savent ne pas leur appartenir ».
Extrait de l’interview du sociologue Russe G.Loudine paru dans Mediapart.
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@DACH Vous parlez pour tout le peuple ukrainien qui en fait n’a jamais existé ! Un peu d’histoire pour les ignorants : l’Ukraine n’a jamais été une entité politique indépendante. Elle est une fabrication de l’URSS Après la chute de, l’, un modus vivendi avait été établi : pas d’extension de l’OTAN à l’est. On a vu les résultats. A partir du renversement de Yanoukovitch qui prônait un non alignement avec l’OTAN, il était clair que l’Ukraine ( du moins l’ouest) allait basculer. Votre Ukraine imaginaire n’existe plus depuis le 22 février. Et labelliser Poutine comme méchant est aussi ridicule que le comportement d’un bébé !
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@ DACH et aussi :https://ok.ru/video/1832394951396
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@spiritwalker=Vous êtes excusé du peu, et allez sur le terrain en Ukraine au lieu d’être hypnotisé par l’écran de ce que vous avez envie de croire....
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@DACH Vous savez il y a assez de morts dans ma famille depuis ne serait-ce que la grande guerre (autre chose que l’Ukraine , vous en conviendrez) pour que je n’aille pas mourir pour Kiev ou l’Oncle Sam , bien à vous . Quand à Monsieur Poutine que l’on soit pour ou contre , ce n’est ni la russie soviétique des années 1937 , ni le Petit Père des Peuples .
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@spiritwalke
Si Poutine se fout de quelque chose, c’est bien de la vie humaine. Sauf bien sûr de la sienne, qu’il relie à l’existence même de la Russie...Les minorités ethniques de l’est sont toutefois dix fois plus sacrifiés, que les enfants de Moscou. Il y a dans cette guerre soit disant patriotique, le reflet de c’est qu’à la Russie : La pire expression d’une économie de marché, à l’état mafieux, au mains d’un paranoïaque, jouant sur le sentiment de revanche d’un peuple qui aurait été soi disant humilié, et trafiquant l’histoire. .Le Dombass est une des régions les plus riches d’Ukraine, qui elle même est un réservoir à blé. C’est le « lebenstraum », l’espace vital que les nazis avaient eux aussi prévu de s’acaparer, pour la survie de la race, comme ils disaient. Poutine a repris le combat d’Hitler. Il est imprévisible, comme lui car son combat est au delà de la logique. Nul doute qu’il veut rétablir exactement l’empire soviétique dans son espace, avec même l’anexion de l’allemagne de l’est qu’il connut particulièrement.
Il n’y a rien à attendre d’une soumission quelconque. Nous avons le même choix à faire que dans les années 30. On ne tranisge pas plus avec Hiltler qu’avec Poutine. Il n’existe que le combat, ou l’anéantissement.
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@velosolex
Il n’existe que le combat, ou l’anéantissement.
Mais qu’est-ce que tu fous encore là sur AV ? -
@spiritwalker
« Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre. » ;
Une citation de Churchill, tout à fait adapatée. Ce n’est pas nous, qui décidons par notre attitude du nombre de morts, mais Poutine. Et pour lui la jauge, ne sera assez pleine. C’est un homme qui a besoin de victimes sans cesse pour justifier de nouveaux fronts, dans une guerre en éternelle expansion.
La guerre chez lui n’est pas un moyen mais un état pérpétuel à entretenir pour que l’état justifie à la fois encore plus d’effort et d’unité du peuple. C’est une vision paranooique de l’histoire, coupée de toute réalité, mais necessaire à la survie d’un état qui ne peut plus exister s’il passe la marche arrière, et dans lequel Poutine a place sa vie.
La dedans le crime de guerre, est même une necessité. Il s’agit de montrer aux autres que la Russie se moque des lois des autres, et qu’elle s’en sert même pour tenter de tétaniser l’occident. Hiltler avait fait la même chose avec ses exécutions sommaires, et les pogroms à répétition. Le culte de la mort des SS est de même obédience que ceux des soldats wagner, des milices militaires indépendantes des corps d’armée traditionnelles.
Les pays de l’est savent très bien cette réalité. Il n’y a rien à attendre dans la négociation, qui ne peut qu’être illusoire. Il existe peut être dans la société russe des forces de renouvellement, mais la meilleure façon de les réveiller, est de faire payer la note aux russes sur le terrain -
@troletbuse
Vous confondez agoravox et pravda, mon pauvre ami. -
@velosolex
T’as acheté ton treillis ? N’oublie pas les masques et surtout le gel, guignol ! -
« Imbécile qui se tait passe pour un sage » proverbe breton...
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@velosolex Ignorant ! Churchill a dit : entre la guerre et la paix dans le déshonneur vous avez choisi la paix Vous aurez le déshonneur ET la guerre !
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@DACH Vous, par contre , vous avez envie de croire que vous êtes allés sur le terrain !!
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@laertes
Il faudra m’expliquer la différence entre les deux formules, avant de me taxer de façon un brin hautaine « d’ignorant. Je vous retourne le compliment...
. D’abord, vous semblez oublier que Churchill n’est pas De Gaulle, et qu’il s’exprime en Anglais. La traduction que vous me proposez et que vous avez trouvé sur le net, est totalement équivalente à celle que je propose.
Attendu qu’une traduction, ce n’est pas du mot à mot, sauf pour des phrases telle que »The cat is black".
De plus, personne, ne connait la phrase originale de Churchill. C’est son biographe qui la cite. Il se pourrait bien qu’elle soit apocryphe. Comme chez beaucoup d’hommes célèbres, des phrases sont passées à la postérité sans qu’on soit sûr de leur authenticité. Cependant, elles ne sont pas sans valeur, car elles font sens de la pensée de ces hommes, comme un résumé de leur esprit d’alors.
https://bit.ly/3YIJLIQ Ces citations que Churchill n’a jamais prononcées -
@velosolex. C’est vous qui amenez Churchill pour vous faire mousser ! ....Laissez Churchill tranquille car il n’a rien à voir avec la guerre en Ukraine.
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@laertes
Vous avez surtout tenté de vous faire mousser en me mouchant...« Dis quelque chose qui ne convient pas, attends toi à une réponse qui ne te plaira pas » (les 1001 nuits)L’histoire est toujours intéressante, car les même causes, amènent souvent les mêmes résultats. De tous temps Il y a des hommes qui s’applatissent, et d’autres qui refusent la défaite. Churchill était un d’eux. Comme De Gaulle, Jeanne d’Arc, ou Zelensky maintenant. Des personnages trancendentaux. C’est la plus vieille histoire du monde.
L’histoire permet de lever la tête de l’écuelle. Au sujet de la bataille de Blakmout, je pourrais vous dire qu’elle me rappelle celle des Termopyles. L’essentiel pour les Grecs n’était pas de vaincre les Perses, cent fois plus nombreux, mais de les ralentir. Leur sacrifice ayant pour but aux troupes de l’arrière de s’organiser. -
@velosolex vous êtes un indécrottable pédant ! Comparer Zelinsky à Jeanne d’arc ! Wouaaarf . N’utilisez pas des références historiques que vous ne maîtrisez pas .....vous êtes ridicule...Remarquez, si le corrompu et clown Zelinsky terminé en cendres, au moins il relancera les engrais ukrainiens......Puisque vous aimez les citations : « les gens qui citent à tout propos et hors de propos les pensées des génies cherchent à masquer leur indigence » La Rochefoucauld !
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@laertes
Si vous aviez pas internet à votre service, vous seriez bien en peine de citer ne serait ce qu’une seule morale de La Fontaine. C’est du Shakespeare. -
@velosolex , Aïe ! J’ai touché juste.
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Je n’ai pas le moindre doute que la Russie démilitarisera et dénazifiera l’Ukraine. Je suis également convaincu que ce que la Russie montre aujourd’hui ... représente tout au plus 5 % de ses capacités ! Il serait bon pour les États-Unis et l’OTAN que la Russie ne soit pas obligée de déployer toutes ses forces !
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@André=Une conviction en chambre peut-elle résister aux faits observables ?
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@DACH TOIT
En chambre sous le toit vous pratiquez ,
Vous ne résistez pas à regarder des images , des tableaux ........ ???
Bouououh ......C’est pas beau tout çaJe vous laisse découvrir .
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@DACH. Des faits dits « observables » en chambre peuvent-ils résister au ridicule ?
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Précision ; Das Dach = Le toit, lol
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https://www.profession-gendarme.com/un-tweet-pose-comme-un-etron/
https://www.youtube.com/watch?v=2ZPTm1cAG78&t=57s
Quand un individu très controversé vient insulter un défunt, sachant qu’il ne pourra point lui répondre, Charles de Gaulle en effet ne se trompait pas en disant que « la vieillesse est un naufrage ». Avant de le citer, cet individu aurait mieux fait de s’observer dans un miroir et je pense qu’il se serait abstenu.
Voyez plus tôt par vous même de qui nous parlons ici et du Tweet ignoble qu’il vient de publier avec un « courage exemplaire ». Je parle bien sur de Laurent Alexandre qui se drape derrière le titre de « docteur » :
Tout le monde sait que Luc Montagnier était complètement gâteux
Et oui…. On peut avoir le prix Nobel et devenir gâteux
Il racontait absolument n’importe quoi
La vieillesse est un naufrage expliquait Charles de Gaulle https://t.co/Yiu5xcJoCL
— Docteur Laurent Alexandre (@dr_l_alexandre) February 7, 2023
Bien heureusement nous nous trouvons ici devant le cas flagrant de « l’Arroseur arrosé » et je vous invite pour preuve à lire les très nombreux commentaires ayant suivi la publication de ce tweet.
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https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/03/07/comment-macron-infiltre-la-resistance-pour-la-fourvoyer/Dans les années à venir, il faudra documenter et écrire l’histoire particulièrement intéressante de la contre-influence exercée discrètement par Macron, avec des techniques que le Courrier se propose de décrire au fil de l’eau, pour la fourvoyer vers des impasses politiques. Jamais en effet, un Président détesté comme l’est le mari de Brigitte n’a pu aller aussi loin dans l’exercice solitaire et autoritaire du pouvoir.
Nicolas Sarkozy, qui fut aussi détesté, n’avait pas pris, comme Macron, l’attache suffisante de Mc Kinsey pour bénéficier du meilleur en matière de manipulation de l’opinion. Mal lui en pris, puisqu’il a finalement été défait par un Président « normal » lui aussi condamné à l’impopularité et à l’échec. Impopulaire, Macron est parvenu à gagner grâce à quelques ficelles, notamment à une stratégie d’affaiblissement de la résistance. Je vous en dis quelques mots.-
Discours de politique générale adressé aux UMP-Socialistes dans un pays imaginaire par un conseillé improbable, devant une assemblée en ordre de bataille . .Mesdames & Messieurs les élites,les frères et soeursles journalistes,cher compatriote des deux chambres .A vous, les futurs candidats à l’élection présidentielleJe serais bref.Si vous voulez détruire un pays ,inutile de faire une guerre sanglante qui pourrait durer des décennieset coûter cher en vies humaines .Il suffit de détruire le système d’éducation et d’y générer la corruption .Ensuite ,il faut attendre 20 ans et vous aurez un pays constitué d’ignorants et dirigé par des voleurs .Il sera très facile de les vaincre .On vous observera, on vous suivra lorsque la mise en application de ce plan sera effectif .Je vous remercie de votre attention et vous souhaite une réussite totale
.. . ../-
La Namibie et le mémoire oubliée des génocidaires ALLEMANDS.
Colonisation ALLEMANDE
En 1884, Lüderitz est fondée par un négociant allemand de Brême. Le territoire entre le fleuve Kunene et le fleuve Orange devient le protectorat du Sud-Ouest africain allemand (Deutsch-Südwestafrika). En 1885, Heinrich Göring devient le gouverneur de la nouvelle colonie allemande et entreprend de signer des traités avec les peuples locaux.
En 1894, Swakopmund est fondée sur la côte atlantique à une cinquantaine de kilomètres au nord de l’enclave britannique de Walvis Bay, seul port en eau profonde de la côte.
En 1904, des autochtones héréros se soulèvent et sont massacrés par les Allemands sous le commandement du général Lothar von Trotha. Des camps de concentration sont créés, à l’instar de ceux installés par les Britanniques en Afrique du Sud, lors de la seconde guerre des Boers7. Dans le Sud-Ouest africain, la population herero est ainsi réduite, dans un contexte d’hygiène déplorable, de famines et surtout d’ordre de l’administration coloniale allemande d’extermination de tous les Hereros, de 80 000 à 150 000 individus. Quelque 10.000 Namas ont également été tués. Ce massacre des Héréros et des Namas est considéré comme le premier génocide du XXe siècle8,9,10. Le 28 mai 2021, les autorités allemandes ont reconnu, par un communiqué du ministre des Affaires étrangères Heiko Maas, le caractère génocidaire du massacre11.
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@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
Comme à l’habitude les dirigeants ALLEMANDS remettent les pieds et les couverts sur les lieux de leur massacre , sans une certaine arrogance .
https://reseauinternational.net/le-president-namibien-recadre-un-representant-allemand-a-propos-de-la-chine/
par Amar DjerradLa chaîne YouTube africaine 2nacheki a mis en ligne une vidéo de 2018 (en anglais) montrant le président namibien en train de recadrer un ex-président du parlement allemand. Les deux hommes politiques discutent de la présence de la Chine en Namibie.
Une vidéo refait surface sur les réseaux sociaux, où Hage Gottfried Geingob, président namibien, remet à sa place Norbert Lammert, président de la Fondation Konrad-Adenauer et ex-président du Parlement allemand. Elle a été récemment mise en ligne par la chaîne YouTube africaine 2nacheki et par d’autres médias sur Twitter et YouTube.
Lors de cette rencontre, qui a eu lieu en novembre 2018, Lammert a fait une remarque au chef d’État namibien, selon laquelle il y aurait quatre fois plus de Chinois que d’Allemands en Namibie, contrairement à ce qu’il se passe dans d’autres parties du monde. « Quel est votre problème avec cela ? Cela ressemble plus à un problème européen qu’au nôtre », a rétorqué Geingob.
Le président namibien a noté que ses concitoyens, y compris les diplomates, étaient harcelés en Allemagne alors que les Allemands ne rencontraient aucun problème en Namibie. « Pourquoi parlez-vous des Chinois ? Parlez plutôt des Allemands, de votre manière de nous traiter là-bas. Les Chinois ne nous traitent pas comme ça », a poursuivi Geingob. À chaque fois que les Européens viennent, ils parlent des Chinois, a déploré le chef de l’État. Et de préciser que des Chinois venaient en Namibie pour investir.
En février dernier, le président Geingob a rencontré Zhao Weiping, nouvel ambassadeur de Chine. Le chef d’État a déclaré que la Namibie comptait sur une implication accrue des entreprises chinoises dans la croissance de son secteur de l’énergie verte, en particulier de l’hydrogène vert, selon le journal Namibia Economist.
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https://les7duquebec.net/archives/280
Par Alastair Crooke –
Il y a trop de « bruit » dans le système, et cela obscurcit la vue.
Davos a toujours été « bizarre » . Mais cette année, les aspects les plus bizarres étaient si évidents. Le WEF (Forum de Davos) est en train de mourir sur pied. La « vision » semble de plus en plus fantaisiste et l’orgueil démesuré – inhérent au « conditionnement comportemental » visant à faire faire aux gens les « bons choix » – est à nu. Le fossé entre la vie, telle qu’elle est vécue, et les sombres prévisions du WEF n’a jamais été aussi profond. Le fossé ne fera que se creuser, car la chute brutale du niveau de vie amène la grande majorité des gens à se préoccuper du présent immédiat et de la survie de la famille.
On pourrait considérer ce phénomène comme une curiosité. Mais ce serait une erreur. Le navire de Davos a peut-être heurté un gros iceberg de crédibilité, mais il n’a pas encore coulé.
Au contraire, le fait que Davos sombre dans une idiosyncrasie effrayante est significatif – hautement significatif.
Il est significatif parce qu’il marque une discontinuité dans le spectre de ce « couple bizarre » que constituent les (verts) zélateurs européens du climat faisant équipe avec les néocons Russophobes américains et britanniques. Il a toujours été étrange que le parti vert allemand, autrefois opposé à la guerre, soit devenu un partisan aussi fervent de la guerre contre la Russie.
L’aile « verte » de la coalition s’affaiblit. Mais nous devrions nous attendre à ce que les pressions climatiques sur la transition verte augmentent, alors que les niveaux de vie continuent de s’effondrer à un rythme jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale.
Intuitivement, la bizarrerie de Davos pourrait sembler une bonne chose. Mais attention à ce que nous souhaitons, car l’affaiblissement de l’aile « verte » laisse les idéologues de l’hégémonie américaine (les néo-cons) plus libres de s’installer dans le vide ainsi laissé.
Les origines de ce cadre à Davos/Reset ont toujours été « douteuses » . L’initiateur du concept n’a jamais été le Team Schwab, mais David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank, et son protégé (et plus tard « conseiller indispensable » de Klaus Schwab), Maurice Strong.
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Le sociologue russe G. Ioudine avait mis en garde contre la guerre quelques jours avant son déclenchement dans un article célèbre. Un an après dans une interview au media Meduza il revient sur les causes de cette guerre, ses perspectives, la passivité de la population, la nature de l’impérialisme russe et les ressources de la culture russe pour articuler sa critique et proposer une alternative. Extrait d’un interview passé dans Médiapart
"Cela signifie qu’on peut considérer que son véritable but est de permettre à Vladimir Poutine de conserver le pouvoir ?
—C’est à peu près la même chose. Il pense son règne comme une guerre permanente. Poutine et ceux qui l’entourent nous répètent depuis longtemps que nous sommes en guerre. Certains ont préféré faire semblant de ne pas entendre, mais ces gens-là pensent sérieusement qu’ils participent depuis longtemps à une véritable guerre. Simplement cette guerre vient d’entrer dans une phase agressive dont visiblement on ne sortira plus. Pour ceux qui partagent cette vision du monde, la guerre est par principe une chose normale. Cessez de penser que la paix est un état de chose naturel, et vous commencerez à voir la situation comme ils la voient. Comme l’a déclaré le gouverneur du district autonome des Khantis-Mansis, Natalia Komarova, « la guerre est notre meilleure amie ».
Il suffit de rappeler l’ultimatum adressé par Poutine aux USA et à l’OTAN en 2022 à la veille de la guerre : il y est presque sérieusement affirmé, noir sur blanc, que toute l’Europe orientale appartient à la sphère d’influence personnelle de Vladimir Poutine. Comment cela devra être réalisé, avec ou sans perte de souveraineté formelle, cela n’a aucune importance. De plus cette zone inclut, sans aucun doute, l’Allemagne de l’Est, tout simplement parce que Vladimir Poutine y est attaché par quelques souvenirs personnels. J’ai du mal à croire qu’il ne pense pas que ces territoires lui appartiennent réellement. Poutine a définitivement l’intention de restaurer la zone du Pacte de Varsovie, et pour le reste on verra plus tard.
On m’objecte souvent : « C’est du délire, cela ne peut pas être ! C’est irrationnel, c’est de la folie, il n’y a aucune possibilité que cela arrive ! » Je rappelle cependant qu’il y a encore peu de temps tout le monde disait la même chose à propos de l’Ukraine.
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L’Europe est la grande cocue de cette guerre pendant que les Etats Unis s’en sont mis plein les poches. Et à tous les ukrainistes forcenés qui brandissent le drapeau ultra-nationaliste de Kiev je leur dis ceci, vous êtes des imbéciles et vous n’avez pas compris les réels enjeux de ce conflit. Trop occupés à pleurnicher devant les reportages larmoyants de LCI....Comme si les ukrainiens n’avaient pas commis d’atrocités depuis 10 ans !
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