Bravo, bel exercice, et sans entrer dans les détails, le CC pourrait y trouver le prétexte nécessaire pour sortir enfin de cette impasse
Une solution possible !
- le conseil constitutionnel annule le projet actuel sous un prétexte quelconque (lire article de JL Hodemon), chacun sort honorablement de l’impasse
- nouvelle phase de concertation pour un nouveau projet, mais sur de meilleurs critères, par exemple
- l’universalité (la seule bonne partie du projet initial mais abandonnée),
c’est l’égalité des règles du fronton de nos mairies
- « un euro cotisé = mêmes droits pour tous » qui en découle
- abandon de l’objectif « 14% PIB pour retraités », mais
détermination d’un % équitable revu annuellement en fonction de la
démographie (cela permet de déterminer la part globale des retraités =
le vrai système de répartition : la génération qui travaille partage sa
production avec les jeunes et les retraités qui ne produisent pas).
C’est la fraternité du fronton de nos mairies.
- système par points pour que les retraités se partagent entre
eux leur part globale du gâteau (part de chacun selon total cotisé et
espérance de vie a l’age de la retraite)
- age de départ déterminé librement par chacun pour son cas
personnel (on oublie les notions d’age légal, d’age pivot, de nombre
d’annuités, de majoration/minoration qui ne servent à rien et ... qui
fâchent en plus ! = maso).
C’est la liberté du fronton de nos mairies.
- la pénibilité se gère via les salaires. Travail pénible =
meilleur salaire = plus (+) de cotisations = possibilité de partir plus tôt
en retraite à montant égal.
- système similaire pour les enfants (qui génèrent des cotisations pour mère/parents ?)
Bref discutons, échangeons des arguments pour construire, mais sans
violence ni gène, ni perte de production (diminution de notre gâteau
global), ni casse (frais pour tous)