@capobianco
copié-collé : « Il faut donc s’attendre à des migrations comme vous le dites avec vos exemples. Mais les changements ne pas que climatiques, la population d’il y a 500 000 ans n’étaient pas à 7 ou 8 milliards d’humains. »...
C’est bien le coeur du propos. On en parle ou pas ? On évoque le CO2, on « lutte » contre le CO2, et on s’en tient à ça dans les médias de masse. On évoque « le réchauffement climatique » et on a « tout dit ». C’est merveilleux.
La pollution, et toutes les maladies induites par celle-ci, passe pratiquement sous les radars.
Les « mégabassines » maintenant. Un couple seul utilise moins d’eau qu’une famille de 5 enfants. 1 milliard d’humains consomme moins d’eau que 8. Il faut de l’eau pour l’être humain mais aussi pour les plantes qu’ils consomment. Si le « cycle de l’eau » était suffisant pour 1 milliard de personne, l’est-il pour 8 ?
Les êtres humains se sont toujours rassemblés et ont prospéré dans les endroits qui leur étaient favorables. Et les populations se déplaçaient selon leurs besoins. Des villages dans lesquelles des communautés pouvaient vivre ont été abandonnés parce que les conditions de vie du « moment » n’étaient plus favorables. C’est le cas, par exemple, de « Poil en Provence ».
... « Etant éloignés des principales voies de communication, les habitants vivaient pratiquement en autarcie, une bonne partie de l’année. L’agriculture, céréales, légumes, fruits, l’élevage de moutons, porcs, chèvres, volailles et la cueillette de champignons, fruits assuraient la subsistance. Ils complétaient par l’apiculture et la vigne qu’ils cultivaient sur les communes voisines et ramenaient au village pour faire leur vin.
Dans les années 30, le village ne comptait plus aucun habitant et la végétation recouvre les ruines. »...
https://www.grandsudinsolite.fr/3111-04-alpes-de-haute-provence-poil-en-provence—village-abandonne.html
... « Quand le dernier arbre aura été abattu, quand la dernière rivière aura été empoisonnée, quand le dernier poisson aura été péché, alors on saura que l’argent ne se mange pas. »... (citation attribuée à Géronimo).