@Eric F
C’est vous qui faites du « nialisme » en évitant « soigneusement » de prendre en considération la forme de « courbe en cloche » des épidémies de maladies respiratoires hivernales.
Vous le savez, ces épidémies montrent toutes une courbe en cloche qui correspond à l’apparition d’un épisode de pollution augmentée. Il y a un pic épidémique qui « disparait » lorsque les conditions atmosphériques reviennent à la normale (disparition de l’inversion thermique).
Ces courbes « en cloche » sont la preuve formelle de « l’inexistence » d’une propagation et d’une contamination. D’autres preuves existent, comme le fait qu’il soit impossible de rendre malade une personne saine mise en présence d’un malade d’une maladie respiratoire.
Non, désolé « il n’y a pas de milliers de chercheurs » qui travaillent sur les virus et loin s’en faut. Ils sont très peu nombreux à le faire d’ailleurs. Pourquoi « mentez vous », je l’ignore.
Et je vous prends au mot puisque vous écrivez : « des dizaines de milliers de chercheurs travaillent là dessus et ont publié des centaines de milliers d’études ».
Citez m’en une seule, parmi ces centaines de milliers d’études. Une seule, ce n’est quand même pas difficile non ? Si vous l’annoncez c’est que vous en avez connaissance, moi pas. Alors j’attends.....
Vous vous êtes mis dans un piège à rat. Jamais, jamais, jamais, un virus n’a pu être isolé directement d’une sécrétion humaine. Jamais. J’espère que vous comprenez le sens de « jamais ». Pour « découvrir » un virus, il faut tout un travail « in vitro » à l’aide de cellules « non humaines ». Et ce travail d’isolement et de purification des virus est la première partie du « sophisme » concernant la théorie virale. Les vésicules extra cellulaires et les exosomes sont, eux, trouvés « directement » dans les sécrétions humaines. Et sur ce point il vous sera absolument impossible de me contredire, puisque ce sont des faits.