@Lynwec
Surtout totalement inutiles ces vaccins puisqu’ils n’ont strictement aucune efficacité pour lutter contre les matières particulaires atmosphériques qui rendent les gens malades lors des inversions thermiques, principalement les personnes au système immunitaire diminué. C’est toujours le même processus qui est à l’oeuvre lors des maladies respiratoires hivernales.
Mais il convient de « fermer les yeux » sur les phénomènes « d’inversion thermique » et sur l’augmentation des taux de pollution. Tout ceci est absolument « démontré ». Il n’y a strictement aucun doute : les maladies respiratoires hivernales se déclenchent lorsque la pollution augmente et reste élevée durant quelques jours (présence d’un anticyclone, absence de vent et de pluie, température matinale basse). Ceci a parfaitement été le cas en fin novembre-début décembre 2022 et en février 2023. Ainsi, au cours de l’automne-hiver 2022-2023, il y a eu 2 pics épidémiques de maladies respiratoires, tous les deux à la suite d’un épisode de pollution augmentée. C’est très facile de le vérifier pour ceux qui « aiment les faits ».
Et en 2020, lors de l’épisode covid19, cela a été également le cas. Le « pic épidémique » correspondant à une forte inversion thermique et à une pollution augmentée.
C’est pour ces raisons de niveaux de pollution atmosphérique qu’il est totalement contreproductif de comparer la mortalité d’un pays à l’autre dans le monde, puisque les niveaux de pollution ne sont pas les mêmes. Rien qu’en France tout le monde a pu « constater » (ce sont des faits) que les malades « covid19 » avaient été bien plus nombreux dans les régions ou la pollution augmente en hiver, la partie Est de la France. Les résidents de la façade atlantique ayant été bien moins touchés durant cette période.
Mais si « on » veut ignorer la réalité, on peut le faire pour vendre des vaccins qui resteront une cautère sur une jambe de bois, et pour cause : ce qui rend malade ce sont les matières particulaires et non des virus.