@Eric F
 
La thèse de la « contamination et de la propagation virale » est aussi exubérante que celle du créationnisme biblique en 6 jours, basée sur des sophismes et une jonglerie sur quelques paradoxes.

Les épidémies de maladies respiratoires apparaissent « brusquement » et disparaissent aussi « brusquement ». Elles montrent un profil de courbe en cloche en ce qui concerne la mortalité. La thèse de la « ’contamination et de la propagation » est totalement incompatible avec la manière dont les maladies respiratoires surviennent et disparaissent. En revanche, des taux de pollution « provisoirement » élevés, qui surviennent brusquement et disparaissent aussi brusquement, « expliqueraient » mieux l’origine des maladies respiratoires. A ceci il serait possible d’associer le rôle des « champs électromagnétiques » qui induisent une augmentation du « stress oxydatif ». Mais les études manquent sur ce sujet. 

Le « dénialisme » vient à votre secours Eric F. C’est ainsi que vous niez l’existence d’une « non contamination » et d’une « non propagation » lors de la célèbre grippe « espagnole » de 1918-1919. Les « faits » nous montrent que cette maladie ne pouvait pas être « communiquée » à des personnes saines. 

Expliquez nous « pourquoi » vous refusez d’admettre cette réalité ? Où sont vos « arguments » en faveur d’une propagation et d’une contamination alors que les « faits » prouvent le contraire ? C’est « l’expérience » de Milton Rosenau, laquelle a fait l’objet d’un rapport absolument détaillé et dont vous refusez d’accepter les conclusions. C’est du « dénialisme » de votre part. 

... " LA GRIPPE ESPAGNOLE

Encore une fois, cette maladie s’est propagée si rapidement que les scientifiques n’ont pas pu expliquer le taux de contagion par transfert de particules entre humains, mais c’est la DEUXIÈME VAGUE de la grippe espagnole qui a tué des dizaines de millions de personnes à travers le monde.

Le Chirurgien général américain a ordonné une série d’enquêtes sur la nature de cette contagion désastreuse. Une telle série d’expériences a été menée en utilisant 100 volontaires sains de l’US Navy en les mettant en contact étroit et contrôlé avec des patients souffrant de la maladie. Un certain nombre de tests ont été effectués à plusieurs reprises. Du sang a été extrait des malades et injecté aux volontaires. Les patients ont craché dans des plateaux et les personnes non infectées ont bu leurs expectorations. Les patients ont éternué et toussé tandis que les volontaires, nez à nez, ont inhalé les gouttelettes éjectées aussi profondément que possible.

Les médecins ont découvert, à la stupéfaction de beaucoup, qu’AUCUN DES BÉNÉVOLES N’A ÉTÉ MALADE.