@Eric F
copié-collé : « vous donnez donc une interprétation complotiste en affirmant qu’intentionnellement la maladie aurait été provoquée dans le but de tester le déploiement de mesures coercitives et leurs effets ».
Je n’ai pas écrit ça du tout parce que je ne le pense pas. Ne m’attribuez pas vos délires. Je n’ai jamais pensé un seul instant que la « maladie avait été provoquée ». D’où sortez vous ceci ? Vous êtes vraiment « inspiré » en matière de « complotisme » !
Je dis que cette affaire a été montée en épingle, en nous faisant croire à une maladie pire que la grippe espagnole. Le recul de 3 années démontre que tout ceci était une gigantesque supercherie. Si vous ne le voyez pas, je ne peux rien pour vous. Les gens décédés du SARS-COV2 étaient, comme pour les grippes, des personnes déjà « malades », des personnes présentant des dysfonctionnements métaboliques importants. Ce sont des faits. Les personnes saines ne meurent pas de la pollution atmosphérique lors des inversions thermiques.
Je dis aussi qu’il est tout à fait possible de « garnir » le produit injectable, développé à la « va vite », de nanoparticules de transport et d’adjuvants. Ces « adjuvants » qui, dans les « vaccins traditionnels », étaient le « sale petit secret » des immunologistes. Vous aimez « l’aluminium » Eric F, votre organisme l’adore ?
... « L’immunité est classée en deux grands domaines : l’immunité innée et l’immunité adaptative. Pendant longtemps, l’immunité innée a été qualifiée d’« immunité non spécifique », une formulation négative qui reflétait alors le faible intérêt pour ce volet de l’immunologie. Mais ces dernières années, ce domaine a fait l’objet d’un renouveau, en particulier, suite à la découverte des toll-like receptors. Par conséquent, le concept d’immunité non spécifique n’est plus approprié pour définir l’immunité innée.
Charles Janeway, en cherchant à redéfinir le système immunitaire, s’interrogea sur le bien-fondé du concept de discrimination que ferait le système immunitaire entre soi et non-soi. Il mit en exergue que s’il en était ainsi, on devait alors s’interroger sur la nécessité d’utiliser des adjuvants pour initier une réponse immunitaire décente. Il qualifia alors les adjuvants de « sales petits secrets des immunologistes ».
https://www.nature.com/articles/ni0603-502
copié-collé ; »les arguties genre ’’pas observé’’, ’’pas isolé’’, ’’pas analysé’’ sont des mantras ineptes ; quant à la supposée non-contagiosité des maladies, c’est tellement hallucinant que je n’imagine pas que l’on puisse vraiment y croire.«
Votre dissonance cognitive bat son plein. La théorie »virale« fonctionne exactement comme un »sophisme« à savoir un argument, un raisonnement faux, »malgré une apparence de vérité« . »Un sophisme est un raisonnement fallacieux, malgré une apparence de vérité. Présenté comme une démonstration rigoureuse et logique, un sophisme est en réalité faux car incomplet ou ambigu. Il est constitué d’une ou plusieurs prémisses vraies ou prétendues vraies, agencées dans un raisonnement séduisant mais erroné, qui ne respecte pas les règles de la logique, même si la conclusion est vraie. Les sophismes sont difficiles à réfuter si l’on ne maitrise pas la logique.
La « prémisse » qui consiste à affirmer avoir « isolé » et « purifié » le virus est fausse. Tout le reste en découle. Jamais un virus n’a été isolé, ni pour la grippe, ni pour le VIH ni pour le coronavirus. Jamais ! Le « génome » d’un virus est une construction intellectuelle émise à partir d’un « fragment d’ADN » depuis lequel les « chercheurs » font des « suppositions ». Vous pouvez, certes, être « halluciné », mais ce sont des faits. Comme la réalité de la contamination. Se conférer à l’expérience de Milton Rosenau pour laquelle vous restez sans argument. Comme la « non contamination » des résidents de l’hémisphère Sud par ceux de l’hémisphère Nord et inversement. Ce sont des faits parfaitement observables. Mais vous, Eric F, ne le voyez pas, totalement « isolé » dans votre dissonance cognitive. Vous faites un « blocage » et vous venez m’attribuer des propos que je n’ai jamais tenus pour me disqualifier. Je parle de « faits » vérifiables. De rien d’autre.