Pas gonflé le Yankee, il a même pas signé la Charte contre les Crimes de guerre, pour protéger ses bidasses.
Comme disait quelqu’un :
ce sont des salopards mais, ce sont nos salopards !
Ailleurs dans le Caucase, lieu de la dernière Compète de Formule 1 :
https://www.hrw.org/fr/news/2022/10/14/une-video-montre-des-soldats-azerbaidjanais-executant-des-prisonniers-de-guerre
Au début, c’est un fait divers, sanglant. En février 2004, à Budapest,
en Hongrie, des militaires de plusieurs pays participent à un stage
d’anglais organisé par l’OTAN. Ils sont là dans le cadre d’un « partenariat pour la paix »
. Mais une nuit, un officier venu d’Azerbaïdjan, Ramil Safarov, pénètre
dans la chambre d’un autre militaire, un arménien, et il le tue dans
son sommeil. Il lui assène seize coups de hache. Il le laisse presque
décapité.
Safarov est condamné. Il purge sa peine en Hongrie, dans le pays où il a
commis son crime. Mais il y a quelques semaines, Budapest accepte
finalement de l’extrader. La Hongrie renvoie le meurtrier chez lui, en
Azerbaïdjan. Imagine-t-elle ce qui attend Ramil Safarov ? En tout cas,
dès que l’officier pose le pied à Bakou, il est acclamé. Au lieu de
terminer sa peine dans une prison azérie, il est gracié et il est
couvert de récompenses. L’Azerbaidjan lui donne le grade de commandant.
Il lui verse huit ans de salaires, pour compenser ses huit ans de
prison. Il lui offre même un appartement. Le meurtrier parade à la
télévision. Il est devenu un héros national. D’ailleurs, le ministre des
affaires étrangères ne s’en cache pas. Pour lui, Safarov est une
victime : son crime est compréhensible ; il est une conséquence de la
guerre du Haut-Karabakh.
Quand on constate le gabarit de Gurgen Magaryan, on comprend que le Turc ait préféré l’attaquer durant son sommeil