@Eric F
Vous êtes en mesure d’écrire ceci (copié-collé) : « ... Ce sont les observations en population qui sont les plus significatives, notamment la propagation d’un pays à l’autre où les porteurs sont identifiés, ou depuis un cluster vers d’autres régions après dispersion. »...
Mais aussi ceci, dans le même paragraphe, sans que cela ne vous pose strictement aucun problème de « rationalité » (copié-collé) : « ... il y a eu davantage de progrès dans la connaissance des agents infectieux et de la propagation des maladies contagieuses depuis cent ans qu’il y en avait eu dans les millénaires qui ont précédé. »...
Les « progrès réalisés » dans la « connaissance des agents infectieux », reposent donc sur les « observations en population » ? Depuis le prix Nobel de John Enders, découvreur du « virus de la rougeole », aucun progrès n’a été réalisé dans le domaine de l’isolement, de la purification et du séquençage des « pseudo-virus ». Jamais le « génome » d’un seul virus n’a été séquencé. Le séquençage du génome d’un virus consiste en une « interprétation » à partir d’un fragment de séquence retrouvée dans « la soupe ». C’est ça la vérité, mais, toute vérité n’est pas bonne à dire ni même à comprendre. Parce cela pue la manipulation à plein poumon.
Les progrès réalisés, dans la connaissance des agents « pathogènes », ou de toxines, est réelle, elle concerne :
— les matières particulaires polluantes (PM10 ; PM2,5 ; PM0,1)
— les métaux lourds
— les HAP
— le noir de carbone
— le SO2, le CO, les Nox (les oxydes d’azote)
— les COV (composés organiques volatils)
— l’O3
— les pesticides
— les conservateurs et les additifs.