@Géronimo howakhan
La mort et la résurrection de la théorie du virus
Jusqu’en 1952, les virologues pensaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique qui se propageait d’une manière ou d’une autre dans le corps humain ou animal. La médecine et la science réelle ont abandonné cette idée en 1951 parce que les prétendus virus n’ont pas pu être trouvés au microscope électronique et que des expériences de contrôle n’ont jamais été réalisées.
Il a été progressivement reconnu que la mort des cellules d’animaux, d’organes et de tissus sains produisait des déchets que l’on qualifiait auparavant de « virus ». En d’autres termes, la virologie s’était réfutée elle-même et s’était dissoute en tant que science (6).
Cependant, lorsque l’épouse de Crick, futur lauréat du prix Nobel, a dessiné une double hélice en 1953 et que celle-ci a été publiée dans la célèbre revue scientifique Nature, en tant que modèle prétendument développé scientifiquement du matériel génétique présumé, un battage médiatique entièrement nouveau et d’une grande portée est né : la génétique moléculaire. Désormais, la cause des maladies est recherchée dans les gènes. L’idée des virus - en fait déjà réfutée - a donc changé du jour au lendemain. Les gens ne pouvaient apparemment pas abandonner l’idée matérialiste d’un agent extérieur de la maladie. Un virus n’était plus une toxine, mais une structure génétique dangereuse, comprise comme une substance héréditaire, un dangereux génome viral.
Ce sont principalement des chimistes jeunes et inexpérimentés qui ont fondé la nouvelle version de la virologie, la virologie génique. Ces chimistes n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient entre-temps obtenu un financement illimité pour leurs recherches. Et ils ne savaient probablement pas que l’ancienne virologie s’était autodissoute un an plus tôt.
Nous assistons donc à une évolution tragique, qui a fait renaître un paradigme déjà réfuté et particulièrement dangereux. Depuis plus de 2000 ans, on enseigne : « Seigneur, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Cependant, depuis 1995 - depuis que j’ai ouvertement posé la question des preuves de l’existence des virus - un ajout clair a été ajouté : « Car ils ne peuvent pas admettre que ce qu’on leur a enseigné est faux, plus encore : que c’est dangereux, voire mortel. »
Parce que personne n’a eu jusqu’à présent la vue d’ensemble et le courage de dire la vérité, on voit apparaître de plus en plus de « mauvais esprits » - libres de Goethe - et d’hypothèses auxiliaires comme les concepts de « système immunitaire » ou d’« épigénétique ». Tout cela pour pouvoir maintenir les théories inventées à l’époque, non-mondaines et déjà réfutées.
L’histoire de la virologie est une triste suite de vœux pieux et donc de non-scientificité flagrante. Tout d’abord, la théorie du virus (poison en latin) a été érigée en dogme en 1858. Elle a été suivie par l’idée de bactéries pathogènes, particulièrement promue par Pasteur. Vient ensuite la théorie des toxines bactériennes (qui ne sont en fait que les excréments de ces créatures), puis celle des virus, jusqu’à ce que cette idée soit explicitement abandonnée en 1952.
Mais avec le renouveau de 1953, ils ont présenté l’idée des poisons de la maladie de Virchow sous une nouvelle forme, cette fois de soi-disant « virus génétiques », et ont même promu l’idée des gènes du cancer et de la « guerre contre le cancer », qui a été fondée à l’époque de Nixon. Le dernier rejeton de cette honteuse lignée est l’idée que les gènes, parce qu’ils sont porteurs de tous les caractères, doivent donc aussi être porteurs de toutes les maladies.
En l’an 2000, cependant, avec le dévoilement des données contradictoires du soi-disant projet du génome humain (l’affirmation honteuse et grotesque que l’ensemble du patrimoine humain était presque découvert), il est apparu clairement que cela n’était pas possible et que plus de la moitié de ce génome devait être inventé par les chercheurs eux-mêmes pour lui donner un peu d’allure. Toutes les idées selon lesquelles les gènes sont « porteurs » de toutes les informations - et donc aussi des informations sur les maladies - ont ainsi été totalement et complètement réfutées.
Jusqu’à présent, cependant, le commun des mortels n’en est pas conscient. Les universitaires impliqués ont beaucoup de mal à admettre le rôle douteux qu’ils ont eux-mêmes joué dans le processus, compte tenu de l’impact des développements gravement trompeurs qui ont suivi.(7) Mais les faits sont les faits : le génome humain entier n’est pas séquencé, quoi qu’on en dise.
Notes
(1) Le prix Nobel est la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à une société pour plusieurs raisons :
1. Toutes les connaissances sont fondées sur « l’opinion dominante » de l’établissement d’enseignement universitaire du moment, y compris sa prétention à l’exclusivité.
2. Les prix Nobel entravent le progrès des connaissances scientifiques parce que leurs conclusions ont tendance à être dogmatiques. Presque toutes les conclusions se sont révélées erronées après un court laps de temps ou après plusieurs années ou décennies.
3. Un groupe très restreint et extrêmement élitiste, éloigné de la réalité, détermine ce qui relève de la science et ce qui n’en relève pas. Ces personnes prescrivent des méthodes « scientifiques » et, entre-temps, suppriment les connaissances contradictoires, excluant de la publication, par le biais de l’« examen par les pairs », c’est-à-dire le contrôle préalable des publications scientifiques selon leurs critères, les résultats indésirables qui réfutent leurs propres idées et dogmes.
Voir le rapport sur le prix Nobel dans la revue WissenschafftPlus n° 1/2017, avec notamment une image qui va à l’essentiel et en dit plus que mille mots.
(2) L’association Libertas & Sanitas, dans ses efforts pour empêcher l’obligation vaccinale, a publié une vaste documentation, qui reflète bien les connaissances existantes des responsables des autorités sanitaires. Cette documentation montre qu’en Allemagne, il n’existe pas de données permettant de conclure que les vaccinations offrent une protection et présentent peu de risques. En effet, il n’existe pas de données collectées en Allemagne qui pourraient étayer la définition de l’OMS de la propagation de la rougeole ou arrêter sa propagation. Voir : www.libertas-sanitas.de.
(3) Toute personne parlant couramment l’anglais peut immédiatement voir que le « génome du virus » (« génome complet ») dans cette publication n’a été construit que de manière conceptuelle, le RKI jouant un rôle clé : Complete Genome Sequence of a Wild-Type Measles Virus Isolated during the Spring 2013 Epidemic in Germany (Séquence complète du génome d’un virus de la rougeole de type sauvage isolé lors de l’épidémie du printemps 2013 en Allemagne).
Le professeur Mankertz, coauteur de cette publication et responsable de l’Institut national de référence pour la rougeole, les oreillons et la rubéole à l’Institut Robert Koch (RKI), a affirmé que des tests de contrôle avaient été effectués qui excluraient que des composants cellulaires soient confondus avec un virus. Il a toutefois refusé de publier la documentation relative à ces tentatives de contrôle. Le professeur Mankertz a répondu dans la procédure de plainte qu’elle n’avait pas effectué de tests de contrôle et que ses collègues à Munich avaient certainement effectué et documenté ces tentatives de contrôle. J’ai ensuite écrit à tous ces auteurs et à leurs directeurs de laboratoire pour leur demander quels étaient les essais de contrôle obligatoires depuis 1998.
Aucun des contacts n’a répondu. Les recteurs des instituts contactés n’ont pas non plus répondu, de sorte que la procédure de plainte était prescrite.
12/05 11:20 - pemile
@eddofr J’ai aussi demandé à @Legstr glaz d’aller faire 6 mois de bénévolat en (...)
12/05 11:13 - chantecler
12/05 11:07 - eddofr
@Legestr glaz Préjugé intéressant. Jugement péremptoire. Vous supputez que je vous répond (...)
12/05 11:04 - Francis, agnotologue
@Legestr glaz ’’Lorsque votre système immunitaire de défense de première ligne (...)
12/05 11:02 - eddofr
Croyez-vous réellement que me taxer d’ignorance soit un argument valide ? Je ne saurais (...)
11/05 14:09 - Legestr glaz
@eddofr J’admire votre capacité à vous informer avec la rapidité de l’éclair. Il (...)
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