Une nouvelle étude explosive révèle que le port du masque engendrerait de graves conséquences chez les enfants
Mortinatalité, dysfonctionnement testiculaire et déclin cognitif : des chercheurs allemands alertent au sujet du port du masque
Une nouvelle étude réalisée par des chercheurs allemands a conclu que les masques faciaux peuvent provoquer une intoxication au dioxyde de carbone lorsqu’ils sont portés, (même pendant de courtes périodes) et qu’ils peuvent avoir contribué de manière significative à la mortinatalité lorsqu’ils étaient portés par des femmes enceintes, ainsi qu’au dysfonctionnement testiculaire et au déclin cognitif chez les enfants, parmi d’autres problèmes de santé destructeurs.
Comme le rapporte le Daily Mail, la recherche publiée dans la revue Heliyon comprend un examen de 43 études précédemment publiées sur l’exposition au CO2, le port de masques et la grossesse.
Face masks may raise risk of stillbirths, testicular dysfunction and cognitive decline due to build-up of carbon dioxide, study warns. https://t.co/baumRMLxZh
— Dr. Anastasia Maria Loupis (@DrLoupis) April 24, 2023
L’étude note que même une exposition à court terme à des concentrations de CO2 aussi faibles que 0,3 % a provoqué des lésions cérébrales, une augmentation de l’anxiété et une altération de la mémoire chez les rates enceintes et les jeunes souris en laboratoire.
Dans un autre cas, des souris mâles exposées à 2,5 % de CO2 pendant quatre heures ont vu leurs cellules testiculaires et leurs spermatozoïdes détruits.
La quantité équivalente pour les humains serait de 0,5 % de CO2 pendant la même période.
Une autre expérience a révélé que des rates enceintes exposées à seulement 3 % de CO2 (ce qui équivaut à 0,8 % pour les humains), étaient mort-nées et présentaient des malformations congénitales.
L’étude se réfère également à des recherches qui ont montré que cinq minutes seulement de port de masque entraînaient une augmentation des niveaux de CO2 comprise entre 1,4 % et 3,2 %.
Bien qu’ils notent que l’étude ne fournit que des « preuves circonstancielles », les chercheurs font allusion à une augmentation de la mortinatalité pendant la pandémie, affirmant que les masques pourraient y avoir contribué.
Des chercheurs suédois avaient déjà constaté que le taux de mortinatalité était passé de 7 pour 1000 naissances à 21 pour 1000 naissances après la pandémie, tandis qu’un grand hôpital britannique avait vu son taux de mortinatalité multiplié par quatre.
Des chercheurs allemands affirment :
« Il existe des preuves indirectes que l’utilisation populaire de masques peut être liée aux observations actuelles d’une augmentation significative de 28 % à 33 % de la mortinatalité dans le monde entier. ».
Ces derniers notent également que les recherches indiquent :
« Une réduction des performances verbales, motrices et cognitives globales de deux écarts types complets chez les enfants nés pendant la pandémie. ».
Kevin Bass, docteur en biologie cellulaire et moléculaire, a rédigé un article détaillé sur l’étude, que vous pouvez consulter ci-dessous :
A review published by @CellCellPress shows mask-wearing may contribute to stillbirths, irreversible cognitive deficits in children, testicular dysfunction, and much more.
This suggests the ethical principle "first, do no harm" was violated by mask mandates.
Thread.🧵— Kevin Bass PhD MS (@kevinnbass) April 16, 2023
Cela suggère que le principe éthique « d’abord, ne pas nuire » a été violé par les mandats de port de masque. »
– « Avant de commencer, je tiens à souligner que, pendant la pandémie, j’ai rejeté les préoccupations des autres sur le sujet et j’ai insisté sur le port du masque. J’ai masqué mes enfants en public et je le regrette. Les anti-masques me mettaient en colère. J’ai eu tort. J’ai eu tort. Je le regrette. »
Ces résultats concordent avec un rapport publié par l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), qui concluait « qu’aucune preuve n’a pu être apportée » pour démontrer que les masques médicaux protégeaient les personnes vulnérables contre le COVID.
Thanks for admitting this 3 years later after all the demeaning crap you put everybody through. pic.twitter.com/I9WGPkeHzw
— Paul Joseph Watson (@PrisonPlanet) April 12, 2023
après toutes les conneries que vous avez fait subir à tout le monde. »
Des dizaines d’études sont arrivées à la même conclusion, mais les gens continuent malgré tout à porter des masques, certaines écoles obligent encore les enfants à porter des masques, et certaines compagnies aériennes et compagnies de voyage imposent encore le port de masques.
Depuis le début de la pandémie, tout le monde sait que les masques sont inutiles.
Ceux qui ont résisté, même les médecins, ont été punis et interdits d’exprimer publiquement leurs préoccupations, cela allant de paire avec les confinements massivement nuisibles.
Quand est-ce que cela suffira ?
Source : ZeroHedge
36 réactions à cet article
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Ce n’est pas exactement ça, plutôt le manque d’oxygène qui est nocif ou le manque d’oxygène associé à un excès de gaz carbonique. Sinon dans une enceinte dopée au gaz carbonique, mais avec une pression normale d’oxygène (exemple certaines serres hollandaises) les travailleurs ne sont nullement affectés.
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@Croa
Oui mais imaginez l’aubaine pour les défenseurs du climat : Pendant que les humains s’intoxiquent en recylcant outrance leur CO2 sous le masque, ça réduit donc la population et ça retient le CO2, ce vilain CO2, qui n’ira pas participer au réchauffement. Ce masque, c’est vraiment la trouvaille géniale des « anti-nous » : convergence des intérêts -
@la mandale ou rien
Ce n’est pas idiot de mettre du CO² pour augmenter la chaleur des serres. Dire qu’il a des générations de crétins qui croyaient que les serres servaient à augmenter la chaleur grâce au soleil alors qu’elle servent à emprisonner le CO² qui augmente la chaleur. Heureusement que le GIEC a démonté cette fake-news complotiste des fabricants de serres... :)
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Les problèmes cognitifs en Allemagne, c’est génétique, non !?!?
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Ma fille de 7 ans à l’époque a perdu 2/10 optique en 1 an.
J’ai écrit au président, ahah.
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« Quand est-ce que cela suffira ? »
-> Après ce que j’en ai vu, je peux conclure que ça ne suffira jamais. Ca marchera à chaque coup. Faites un essai en discutant avec les gens dans la vie (collègues, entourage) et vous verrez que bof... fallait bien, on savait pas trop... quand même... etc...
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C’est bien connu, les enfants d’Extrême-Orient, japonnais, chinois, vietnamiens, laotiens ...., qui portent systématiquement et depuis des décennies, des masques dans la rue souffrent tout aussi systématiquement de « mortinatalité, dysfonctionnement testiculaire et déclin cognitif ».
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@amiaplacidus
des chiffres, s’il vous plaît ! -
@il faudrait
Le 2nd degré n’est pas accessible à tout le monde. -
Grace au masque, soit les enfants musclent leur diaphragme, soit ils sont malades.
Comme je suis un fervent admirateur du gouvernement, je propose maintenant de charger les enfants avec le nombre de kg de plomb équivalent à leur âge pour muscler les jambes...
Pour ceux qui ne le savent pas, l’air n’est pas aspiré mais rentre tout seul dans le volume des poumons, car les molécules de l’air à 20°C vont à 500 m/s en moyenne, les muscles se contentant d’ouvrir le volume thoracique. Si vous mettez un filtre quel qu’il soit, il est impossible aux muscles d’ouvrir la cage thoracique pour forcer la respiration car la force de la dépression est infiniment plus forte que les muscles.
Ce n’est donc pas un problème statique mais un problème dynamique :
- Les bébés respirent à des intervalles d’une ou deux secondes (30 à 60 fois par minute).
- Les enfants plus vieux respirent à des intervalles de deux ou trois secondes (20 à 40 fois par minute)
- Les valeurs normales de fréquence respiratoire chez l’adulte sont comprises entre 12 et 20 cycles par minute
Do you understand ?
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@christophe nicolas
’’ l’air n’est pas aspiré mais rentre tout seul dans le volume des poumons, carles molécules de l’air à 20°C vont à 500 m/s en moyenne. ’’
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Ben voyons, ça ne fait jamais que 1 800 km/h. Une petite brise. -
Les conséquences du port imposé du masque, aussi graves soient-elles, ne sont rien à côté de ce que nos bonnes autorités internationales, si soucieuses de notre bien-être, essaient de mettre en place . Je ne voudrais pas être à la place des enseignants actuels quand on leur demandera de réaliser ça .
https://nouveau-monde.ca/les-enfants-devraient-avoir-des-partenaires-sexuels-affirment-lonu-et-loms/
Après avoir trahi la santé mondiale, ils s’attaquent aux enfants, dans le but évident de banaliser la pédocriminalité .
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@Lynwec
N’importe quoi pourvu que ça mousse.
Rien sur les déportations d’enfants sur la Lune pour les faire violer par des Juifs pour garantir la vie éternelle pur les communistes ? -
@Lynwec
Bel exemple de confusionnisme ! -
On a bien constaté le nombre faramineux de malaises dans l’éduc avec les masques et les gosses : dans mon secteur, 7 bahut (2 lycées, 5 collèges) : aucun cas documenté.
Donc encore de la fake, encore de la fake.
Comme d’hab’ avec la merde de GP.
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Le masque chirurgical est la meilleure invention détournée pour comptabiliser les abrutis, les moutons à égorger, un simple morceau de papier ou il est indiqué sur le contenant qu’il n’a aucune efficacité contre les virus…
Les Ovins sont respectables, pas les humains qui se comportent comme des moutons, et accessoirement comme des rats de laboratoires injectés à leur insu.
Nous les adultes c’est surtout la Gestapo macronienne qui nous a terrorisé, pour avoir mal positionné l’objet en question.
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C’est marrant comment, chez certains, « le masque n’est pas une prophylaxie efficace contre l’épidémie de Covid » devient « le masque ne sert à rien ».
Non, le masque chirurgical ne sert pas à rien.
Associé à d’autres mesures de prophylaxie (se laver les mains, ne pas aller au boulot avec 40 de fièvre et le « nez qui coule », ...), Il diminue fortement le taux de transmission de certaines maladies infectieuses (pas toutes, et uniquement du porteur vers les autres).
C’est juste pour dire que tout est question de rapport risque / bénéfice.
Par contre, oui, faire porter le masque chirurgical à des « non porteurs » ne sert à rien (en matière de prophylaxie en tout cas).
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@eddofr
Votre raisonnement ne tient que parce que vous postulez que les maladies respiratoires sont des maladies « transmissibles ». Elles ne le sont pas, et la manière dont ces épidémies respiratoires « s’abattent » « brusquement » sur les populations, et disparaissent « aussi brusquement », démontre qu’il n’y a ni contamination ni contagion inter-humaine. Les gens tombent malades parce qu’ils sont soumis, « en même temps », aux mêmes conditions atmosphériques, qu’ils subissent, « en même temps », l’agression de « toxines atmosphériques ».
Ces épidémies de maladies respiratoires « surgissent » lorsque les taux de pollution atmosphérique sont « augmentés », lors d’inversions thermiques, lors de la présence d’un anticyclone en hiver. Ceci n’est aujourd’hui plus à démontrer tellement les études qui le constatent sont nombreuses. Ainsi, si votre voisin, ou collègue, ou membre de la famille, est malade d’une maladie respiratoire, ce n’est pas parce que vous leur avez « transmis » la maladie, mais, plus exactement, parce qu’il aura « respiré » le même air pollué que vous.
D’ailleurs, un fait « incontournable » et « visible de tous », c’est que les gens malades de maladies respiratoires dans l’hémisphère Sud (Australie, Nouvelle Zélande) ne propagent « jamais » leur maladie dans l’hémisphère Nord, et l’inverse est vrai. Ce ne sont pas les « gens malades » qui contaminent les personnes saines, mais les « toxines » présentes dans l’air qui rendent les gens malades lorsque certaines conditions atmosphériques sont rassemblées. Les faits nous le démontrent mais la « propagande » voudrait qu’il en soit autrement pour « proposer la vaccination de masse ».
Air Pollution and Noncommunicable Diseases
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6904855/
Pollution de l’air et maladies non transmissibles : examen par le comité environnemental du Forum des sociétés respiratoires internationales, partie 2 : Pollution de l’air et systèmes organiques
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30419237/ -
@Legestr glaz
Faites moi plaisir.
Rendez-vous de toute urgence dans le sanatorium le plus proche et allez « roulez des pelles » aux tuberculeux.
J’attends les photos.
On en reparle après.
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@eddofr
Faites moi plaisir, arrêtez d’écouter BFMTV ou France intox.
Prenez connaissance des liens que je poste, rien que des études scientifiques, qui vont bien au delà de ce que vous entendez à la télévision.
Votre seule source d’information est corrompue mais vous n’avez visiblement pas l’air de vous en rendre compte.
Effectivement, allez donc prendre l’air dans un sanatorium, cela vous pourra ventiler votre cerveau. La tuberculose, n’est pas une maladie transmissible mais une maladie de la « pauvreté » et du manque « d’hygiène ». Votre méconnaissance du sujet vous nuit gravement. -
@eddofr
J’admire votre capacité à vous informer avec la rapidité de l’éclair. Il n’y a pas à dire : les études scientifiques, cela vous intéresse beaucoup et vous avez un tel appétit de celles-ci qu’en quelques secondes, vous avez déjà un avis. C’est vraiment formidable.
Vous avez un talent fou pour faire des mises en perspective très rapidement. J’aimerais être comme vous. Moi, il me faut beaucoup de temps pour décrypter ces études scientifiques et les analyser. Nous ne sommes pas égaux hélas.
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Croyez-vous réellement que me taxer d’ignorance soit un argument valide ?
Je ne saurais présumer en toutes circonstances mais, en général, quand on commence à tenter de dévaloriser un interlocuteur, c’est d’une part, qu’on n’a pas grand chose de sérieux à lui opposer, et d’autre part, qu’on est plus préoccupé de « victoire » que de vérité.
Et non, je n’irais pas « prendre l’air » dans un sanatorium, ne vous en déplaise. Mais j’attends de vous y voir, puisque c’est un environnement si sain.
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@Legestr glaz
Préjugé intéressant.
Jugement péremptoire.
Vous supputez que je vous répond sans connaitre le sujet au préalable.
Et si vous supposiez que, si je me permet de vous répondre, c’est parce que je suis, préalablement, intéressé et informé sur le sujet.
Et si vous supposiez que, si je cite, spécifiquement, la tuberculose, c’est parce que j’ai quelque raison d’en savoir quelques choses ?
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@eddofr
J’ai aussi demandé à @Legstr glaz d’aller faire 6 mois de bénévolat en soin de personne atteinte du virus de Marburg en Guinée, pour nous prouver que ce virus n’existe pas, mais il semble « allergique » à toute expérimentation pour soutenir ses affirmations délirantes !
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Jamais aucun virus n’a été isolé, jamais la propagation n’a été prouvée etc
https://greatreject.org/dr-stefan-lanka-claims-about-viruses-are-false/
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@Géronimo howakhan
Champion du monde du n’importe quoi.
Juste un détail.
Les antibiotiques ne sont pas utilisés contre les virus mais contre les bactéries. Etes bactéries on les voit, avec un microscope bon marché, bien vivantes.
Déjà, rien que ça, suffit à mettre cet « article scientifique » à la poubelle.
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@eddofr
Stefan Lanka : « Toutes les affirmations sur les virus en tant qu’agents pathogènes sont fausses ».
par GreatReject - 17/06/2021
Ma thèse n’est pas complexe : toutes les affirmations sur les virus en tant qu’agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations facilement reconnues, compréhensibles et vérifiablement fausses.Les véritables causes des maladies et des phénomènes attribués aux virus ont maintenant une explication différente, et une explication qui est beaucoup plus claire que les pseudo-explications actuelles.
En effet, alors que les scientifiques en laboratoire pensent travailler avec des virus, ils ne travaillent en fait qu’avec certains composants de tissus ou de cellules mourants acquis dans des circonstances très particulières. Leur croyance fondamentale est que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils sont infectés par un virus.
En réalité, ces tissus et cellules de laboratoire meurent parce qu’ils sont affamés et empoisonnés par la méthodologie des tests en tant que telle. Les virologues croient principalement à l’existence des virus parce qu’ils administrent aux tissus et aux cellules du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés « infectés », et ce, il faut le souligner, en plus de l’arrêt de la solution nutritive et après le début de l’empoisonnement par des antibiotiques toxiques. La grande découverte, cependant, est que le tissu et ces cellules mourraient également, et ce de manière totalement autonome - même sans l’ajout des matériaux supposés « infectés ».
La situation actuelleLes virologues ne comprennent pas cela ! Selon les normes scientifiques les plus élémentaires, ils auraient dû au moins effectuer des tests de contrôle pour s’assurer que c’étaient bien des « virus » qui entraînaient la mort des cellules et des tissus. Afin d’établir efficacement la prétendue « multiplication » des virus dans les cellules, ils auraient dû effectuer des tests supplémentaires dans un groupe de contrôle en administrant des substances stériles provenant de personnes en bonne santé. Il s’agissait de vérifier que ce n’était pas la méthode elle-même qui produisait ou falsifiait les résultats.
Ces expériences de contrôle n’ont pas encore été réalisées par la « science ». À la lumière du processus du virus de la rougeole, j’ai fait réaliser ces expériences de contrôle, dans un laboratoire indépendant, et j’ai constaté que les tissus et les cellules meurent aussi bien que s’ils étaient entrés en contact avec du matériel dit « infecté ». Cette constatation me semble importante, mais d’un autre côté, elle est aussi triviale, puisque c’est précisément la tâche des expériences de contrôle d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique utilisée ne soit pas responsable du résultat plutôt que la réalité elle-même.
Les expériences de contrôle sont donc de la plus haute importance et constituent même une condition essentielle pour qu’un résultat soit considéré comme « scientifique ». Comme nous le verrons, l’expert désigné par le tribunal dans le procès du virus de la rougeole - le Dr Podbielski, voir plus loin dans cet article - a constaté que certaines publications de base d’une importance fondamentale pour la virologie dans son ensemble (notamment l’article de John Franklin Enders de juin 1954, et six autres articles par la suite) ne contenaient pas d’expériences de contrôle.
Nous pouvons en conclure que depuis lors, et sans vraiment s’en rendre compte, les scientifiques ont agi de manière extrêmement non scientifique. L’explication de cette action non scientifique, incompatible avec le raisonnement scientifique, est historique : en juin 1954, une hypothèse non scientifique et contradictoire a été publiée, concluant de la mort d’un tissu dans une éprouvette à la présence d’un virus.
Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, le premier auteur de cette hypothèse reçoit le prix Nobel de médecine. Une hypothèse spéculative devenait ainsi, aux yeux de beaucoup, un fait scientifique pratiquement incontesté à ce jour (1). Depuis lors, la mort de tissus et de cellules dans une éprouvette est systématiquement, mais à tort, considérée comme une preuve de l’existence des virus.
Les virus, une illusion conceptuelleC’est donc très simple : la mort des tissus et des cellules est considérée à tort comme l’isolement du virus. Ainsi, quoi qu’on en dise, il n’en reste pas moins qu’un virus n’a jamais été isolé au sens propre du terme, c’est-à-dire montré dans son ensemble ou caractérisé sur le plan biochimique.
Les photographies au microscope électronique des prétendus virus, par exemple, ne montrent en réalité que des particules ordinaires de tissus et de cellules mourantes, généralement tout au plus sous forme de modèle. Cependant, comme les personnes concernées CROIENT que ces tissus et cellules mourants sont des virus, cette mort de cellules et de tissus sous la forme de toutes sortes de parties cellulaires est également appelée « multiplication » des virus.
Les parties concernées le croient encore aujourd’hui, et ce d’autant plus que l’inventeur de cette méthode, en recevant le prix Nobel, est toujours considéré comme une autorité. La remise en cause de cette autorité n’est même pas envisagée.
Il est d’ailleurs important de noter que ce même mélange, qui est donc composé de tissus et de cellules mourantes de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, ne diffère en rien de ce que l’on appelle un « vaccin vivant ». Il est utilisé sans être purgé de tout ce qui n’est pas un virus (de tout, donc, puisque les virus n’existent pas) comme injection prétendument curative, en supposant qu’il s’agit de virus « atténués ». Or, il s’agit principalement de protéines étrangères, d’acides nucléiques (ADN/ARN), d’antibiotiques cytotoxiques, de microbes et de spores de toutes sortes.
Ainsi, un vaccin n’est rien d’autre qu’un mélange de déchets cellulaires et de bactéries. En d’autres termes, des composants qu’un organisme normal excréterait immédiatement. Ce mélange est donc toxique. C’est ce que le corps sécrète comme déchets. Mais il est surtout injecté dans les muscles des enfants lors du processus de vaccination, dans une quantité qui, si elle était injectée dans la veine, conduirait immédiatement à une mort certaine.
Seule une ignorance totale et une confiance aveugle dans les autorités publiques qui « testent » et approuvent les vaccins permettent de qualifier cela de « petite piqûre inoffensive ». Ces faits vérifiables démontrent le danger et la négligence des scientifiques et des politiciens qui prétendent que les vaccins sont sûrs, qu’ils n’ont que peu ou pas d’effets secondaires et qu’ils protègent contre les maladies. Rien de tout cela n’est vrai ni prouvable ; au contraire, si vous examinez la question d’un point de vue scientifique, vous ne trouverez aucun avantage aux vaccins et ne pourrez qu’admettre qu’il n’y a tout simplement aucune preuve de l’affirmation selon laquelle ils vous protègent (2).
ETC...
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@Géronimo howakhan
Il convient d’ailleurs de souligner qu’il n’existe pas, dans l’ensemble de la littérature « scientifique », de virus réellement et complètement décrit. En effet, le processus d’élaboration d’une telle description se fait par consensus, les parties concernées se disputant traditionnellement sur ce qui appartient ou non au virus. Cela a pris des décennies dans le cas du virus de la rougeole, par exemple.
Une erreur d’aiguillage à l’échelle mondialeDans le cas du soi-disant nouveau coronavirus chinois 2019 (rebaptisé 2019-nCoV), ce processus de consensus n’a curieusement pris que quelques clics de souris. Cela n’a rien d’étonnant quand on sait que des constituants sont effectivement extraits de tissus morts et qu’ils se retrouvent ensuite dans une base de données. Mais ce sont ces composants, qui peuvent provenir de nombreux organismes différents, qui sont finalement assemblés en un modèle de virus artificiel.
Le processus est le suivant : à partir d’une base de données contenant les structures moléculaires des composants de l’acide nucléique - il convient de souligner que ces composants proviennent déjà de tissus et de cellules morts qui ont été manipulés biochimiquement - un certain nombre de ces composants sont sélectionnés et utilisés pour construire un brin d’ADN beaucoup plus long, dit « complet », d’un nouveau virus.
Il y a beaucoup à dire sur cette « technique », mais l’idée de base est que ces manipulations, appelées « alignements », ne correspondent tout simplement à aucun matériel génétique « complet » ou connu d’un virus. Pourtant, dans la littérature, ce matériel est appelé « génome ». Par commodité, ils ignorent le fait qu’au cours de la construction d’un « brin d’ADN viral » - j’entends cela de manière totalement conceptuelle, d’ailleurs, dans les faits, rien n’est « construit » - certaines séquences considérées comme « inadaptées » sont lissées et des séquences manquantes (du moins : manquantes dans le modèle conceptuel que l’on maintient) sont ajoutées.
On « invente » ainsi une séquence génétique d’ADN qui n’existe pas et qui n’a même jamais été découverte dans son ensemble. Ces « lissages » et ces ajouts forment, avec de courts morceaux qui correspondent au modèle conceptuel, un ensemble plus grand qui est alors appelé « un brin d’ADN viral ». Encore une fois : en réalité, ce brin n’existe même pas. Il n’existe que dans l’esprit des « scientifiques ».
Un exemple ? Si l’on étudie la composition conceptuelle du brin d’ADN du « virus » de la rougeole et qu’on la compare aux courts fragments de molécules des cellules réellement disponibles, plus de la moitié des particules de molécules qui devraient constituer ce virus manquent ! Certaines d’entre elles ont même été ajoutées artificiellement par voie biochimique, tandis que les autres sont tout simplement... inventées (3).
Je n’invente rien. C’est la réalité, mais comme personne n’ose soupçonner qu’ils travaillent de manière aussi amateur, personne ne pense à vérifier correctement, et l’illusion persiste.
Les scientifiques chinois qui affirment ainsi que la majorité des acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau China Corona Virus 2019 a été « séquencé » (4) proviennent en grande partie de l’ADN de serpents venimeux sont, comme nous tous, victimes d’une erreur d’aiguillage désormais mondiale. Plus les brins d’ADN « viraux » sont inventés de la manière décrite précédemment, plus un nouveau « virus » ressemble à tout ce qui a été « établi » auparavant.
C’est exact. Il y a donc ironiquement une méthode dans l’erreur. Mais ce n’est pas parce que l’on trouve une théorie dans laquelle tout est cohérent que cette théorie est vraie. Tout ce que vous faites, c’est vous tromper vous-même : vous vous déplacez peut-être confortablement dans cette théorie - vous l’appelez même science et vous prétendez qu’elle représente la réalité - mais en réalité, l’impression de cohérence ne provient que de la congruence de votre pensée avec celle de vos prédécesseurs. (5) À la base, l’illusion continue de régner, et elle naît d’une expérience non valide.
L’invalidité des tests de virusLes modèles nécessaires à la prétendue détection de « virus » ne proviennent pas de « virus », mais de tissus, de cellules et de sérum fœtal (sang sans composants solides) d’animaux, principalement des singes et des bovins. Ces animaux étant biochimiquement très proches de l’homme, leurs composants, interprétés à tort comme des composants de « virus », peuvent également être détectés chez l’homme à l’aide de la méthode de dépistage des « virus ». Certains « virus » et leurs vaccins - edoch : certainement pas le « virus » de la rougeole, voir ci-dessous - proviennent même de fœtus humains avortés !
Il est également frappant de constater que les méthodes de test - telles que le test PCR - détectent des molécules présentes chez tous les humains. Avec toutes les méthodes de test pour les « virus », un certain nombre de personnes seront toujours « positives », et cela dépend uniquement de la sensibilité de la méthode de test, c’est-à-dire du nombre de cycles qu’elle subit.
Mais l’illusion est plus grande. Les réactions allergiques particulièrement dangereuses que les vaccins basés sur ces mélanges toxiques provoquent parfois sont ensuite définies comme des « maladies auto-immunes ».
Le sérum fœtal, extrait de manière extrêmement cruelle de fœtus non anesthésiés ( !) de mères non anesthésiées ( !), sans lequel les tissus et les cellules du laboratoire ne se développent pas ou pas assez vite, est particulièrement unique pour les personnes qui ne sont pas enceintes. Il contient toutes les bactéries connues et inconnues imaginables, leurs spores respectives (voir ci-dessous) et un grand nombre de protéines inconnues.
Le tissu rénal est également très populaire - il provient principalement des reins de singes - parce qu’on en tire des composants dont on suppose simplement, sans preuve, qu’ils appartiennent à un certain modèle de virus qui, je ne cesse de le répéter, n’existe même pas dans la réalité. Dans toute la littérature « scientifique », aucun « virus » n’a jamais été identifié comme tel.
Comme les vaccins sont également obtenus exclusivement à partir de ces substances, on comprend pourquoi les personnes vaccinées en particulier sont testées « positives » à tous les « virus » : ils proviennent du même mélange. Les méthodes de test détectent donc les composants des « virus » supposés, les protéines animales et les acides nucléiques, qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et aux acides nucléiques humains.
Les méthodes de dépistage des virus ne détectent donc rien de spécifique, en tout cas rien de « viral », et n’ont donc aucun pouvoir révélateur. Ce qu’ils accomplissent, lorsqu’ils sont diagnostiqués avec Ebola, le VIH, la grippe & Co. par exemple, c’est un choc psychologique paralysant, parfois mortel, qui, après avoir résolu ce conflit psychologique - « Je meurs » - déclenche des signaux de guérison qui sont alors également interprétés comme des symptômes de la maladie, qui sont alors traités avec des médicaments « antiviraux » qui sont parfois si toxiques que le traitement se termine par la mort. L’ironie l’emporte sur tout.
Enfin, je tiens à souligner que toutes les procédures dites de dépistage des virus ne disent jamais qualitativement « oui » ou « non », mais sont conçues de telle sorte qu’elles ne sont jugées « positives » qu’à partir d’un certain seuil quantitatif de concentration. De cette manière, il est possible de tester certains, beaucoup, aucun ou tous les humains et animaux positifs, en fonction de la manière dont la méthode de test a été mise au point. L’ampleur de cette tromperie devient évidente lorsqu’on réalise que des « symptômes » normaux (c’est-à-dire des signaux de guérison) sont soudainement interprétés comme des symptômes du SIDA, de l’ESB, de la grippe, du SRAS ou de la rougeole à partir du moment où le test est « positif ».
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@Géronimo howakhan
La mort et la résurrection de la théorie du virus
Jusqu’en 1952, les virologues pensaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique qui se propageait d’une manière ou d’une autre dans le corps humain ou animal. La médecine et la science réelle ont abandonné cette idée en 1951 parce que les prétendus virus n’ont pas pu être trouvés au microscope électronique et que des expériences de contrôle n’ont jamais été réalisées.
Il a été progressivement reconnu que la mort des cellules d’animaux, d’organes et de tissus sains produisait des déchets que l’on qualifiait auparavant de « virus ». En d’autres termes, la virologie s’était réfutée elle-même et s’était dissoute en tant que science (6).
Cependant, lorsque l’épouse de Crick, futur lauréat du prix Nobel, a dessiné une double hélice en 1953 et que celle-ci a été publiée dans la célèbre revue scientifique Nature, en tant que modèle prétendument développé scientifiquement du matériel génétique présumé, un battage médiatique entièrement nouveau et d’une grande portée est né : la génétique moléculaire. Désormais, la cause des maladies est recherchée dans les gènes. L’idée des virus - en fait déjà réfutée - a donc changé du jour au lendemain. Les gens ne pouvaient apparemment pas abandonner l’idée matérialiste d’un agent extérieur de la maladie. Un virus n’était plus une toxine, mais une structure génétique dangereuse, comprise comme une substance héréditaire, un dangereux génome viral.
Ce sont principalement des chimistes jeunes et inexpérimentés qui ont fondé la nouvelle version de la virologie, la virologie génique. Ces chimistes n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient entre-temps obtenu un financement illimité pour leurs recherches. Et ils ne savaient probablement pas que l’ancienne virologie s’était autodissoute un an plus tôt.
Nous assistons donc à une évolution tragique, qui a fait renaître un paradigme déjà réfuté et particulièrement dangereux. Depuis plus de 2000 ans, on enseigne : « Seigneur, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Cependant, depuis 1995 - depuis que j’ai ouvertement posé la question des preuves de l’existence des virus - un ajout clair a été ajouté : « Car ils ne peuvent pas admettre que ce qu’on leur a enseigné est faux, plus encore : que c’est dangereux, voire mortel. »
Parce que personne n’a eu jusqu’à présent la vue d’ensemble et le courage de dire la vérité, on voit apparaître de plus en plus de « mauvais esprits » - libres de Goethe - et d’hypothèses auxiliaires comme les concepts de « système immunitaire » ou d’« épigénétique ». Tout cela pour pouvoir maintenir les théories inventées à l’époque, non-mondaines et déjà réfutées.
L’histoire de la virologie est une triste suite de vœux pieux et donc de non-scientificité flagrante. Tout d’abord, la théorie du virus (poison en latin) a été érigée en dogme en 1858. Elle a été suivie par l’idée de bactéries pathogènes, particulièrement promue par Pasteur. Vient ensuite la théorie des toxines bactériennes (qui ne sont en fait que les excréments de ces créatures), puis celle des virus, jusqu’à ce que cette idée soit explicitement abandonnée en 1952.
Mais avec le renouveau de 1953, ils ont présenté l’idée des poisons de la maladie de Virchow sous une nouvelle forme, cette fois de soi-disant « virus génétiques », et ont même promu l’idée des gènes du cancer et de la « guerre contre le cancer », qui a été fondée à l’époque de Nixon. Le dernier rejeton de cette honteuse lignée est l’idée que les gènes, parce qu’ils sont porteurs de tous les caractères, doivent donc aussi être porteurs de toutes les maladies.
En l’an 2000, cependant, avec le dévoilement des données contradictoires du soi-disant projet du génome humain (l’affirmation honteuse et grotesque que l’ensemble du patrimoine humain était presque découvert), il est apparu clairement que cela n’était pas possible et que plus de la moitié de ce génome devait être inventé par les chercheurs eux-mêmes pour lui donner un peu d’allure. Toutes les idées selon lesquelles les gènes sont « porteurs » de toutes les informations - et donc aussi des informations sur les maladies - ont ainsi été totalement et complètement réfutées.
Jusqu’à présent, cependant, le commun des mortels n’en est pas conscient. Les universitaires impliqués ont beaucoup de mal à admettre le rôle douteux qu’ils ont eux-mêmes joué dans le processus, compte tenu de l’impact des développements gravement trompeurs qui ont suivi.(7) Mais les faits sont les faits : le génome humain entier n’est pas séquencé, quoi qu’on en dise.
Notes(1) Le prix Nobel est la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à une société pour plusieurs raisons :
1. Toutes les connaissances sont fondées sur « l’opinion dominante » de l’établissement d’enseignement universitaire du moment, y compris sa prétention à l’exclusivité.
2. Les prix Nobel entravent le progrès des connaissances scientifiques parce que leurs conclusions ont tendance à être dogmatiques. Presque toutes les conclusions se sont révélées erronées après un court laps de temps ou après plusieurs années ou décennies.
3. Un groupe très restreint et extrêmement élitiste, éloigné de la réalité, détermine ce qui relève de la science et ce qui n’en relève pas. Ces personnes prescrivent des méthodes « scientifiques » et, entre-temps, suppriment les connaissances contradictoires, excluant de la publication, par le biais de l’« examen par les pairs », c’est-à-dire le contrôle préalable des publications scientifiques selon leurs critères, les résultats indésirables qui réfutent leurs propres idées et dogmes.
Voir le rapport sur le prix Nobel dans la revue WissenschafftPlus n° 1/2017, avec notamment une image qui va à l’essentiel et en dit plus que mille mots.(2) L’association Libertas & Sanitas, dans ses efforts pour empêcher l’obligation vaccinale, a publié une vaste documentation, qui reflète bien les connaissances existantes des responsables des autorités sanitaires. Cette documentation montre qu’en Allemagne, il n’existe pas de données permettant de conclure que les vaccinations offrent une protection et présentent peu de risques. En effet, il n’existe pas de données collectées en Allemagne qui pourraient étayer la définition de l’OMS de la propagation de la rougeole ou arrêter sa propagation. Voir : www.libertas-sanitas.de.
(3) Toute personne parlant couramment l’anglais peut immédiatement voir que le « génome du virus » (« génome complet ») dans cette publication n’a été construit que de manière conceptuelle, le RKI jouant un rôle clé : Complete Genome Sequence of a Wild-Type Measles Virus Isolated during the Spring 2013 Epidemic in Germany (Séquence complète du génome d’un virus de la rougeole de type sauvage isolé lors de l’épidémie du printemps 2013 en Allemagne).
Le professeur Mankertz, coauteur de cette publication et responsable de l’Institut national de référence pour la rougeole, les oreillons et la rubéole à l’Institut Robert Koch (RKI), a affirmé que des tests de contrôle avaient été effectués qui excluraient que des composants cellulaires soient confondus avec un virus. Il a toutefois refusé de publier la documentation relative à ces tentatives de contrôle. Le professeur Mankertz a répondu dans la procédure de plainte qu’elle n’avait pas effectué de tests de contrôle et que ses collègues à Munich avaient certainement effectué et documenté ces tentatives de contrôle. J’ai ensuite écrit à tous ces auteurs et à leurs directeurs de laboratoire pour leur demander quels étaient les essais de contrôle obligatoires depuis 1998.Aucun des contacts n’a répondu. Les recteurs des instituts contactés n’ont pas non plus répondu, de sorte que la procédure de plainte était prescrite.
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@Géronimo howakhan
Bonjour,
merci pour ce partage.
’’Les virologues ne comprennent pas cela !’’
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La compréhension est une adéquation à nos intentions, et les scientifiques n’échappent pas à cette règle.
La question est : quelles sont les intentions des virologues qui ne comprennent pas que ce qu’ils prennent pour des virus ne sont en fait que des artefacts ? Ils perdraient leur job et leur notoriété s’ils comprenaient.
C’est d’ailleurs ce qui est arrivé à ceux d’entre eux qui ont eu le courage et l’audace de le révéler, comme Stefan Lanka entre autres.
Cordialement. -
s@Francis, agnotologue
Salut Francis, mais de rien...
extrait :.... Ils perdraient leur job et leur notoriété s’ils comprenaient. ..
Oui bien sur et un niveau social, et une sécurité matérielle et etc...
dont une fin de vie misérable..
sur d’autres sujets c’est pareil, prenons le sphinx qui aurait 4500 à 5000 ans, selon les archéologues accrédités par cet ancien désordre mondial, et bien la géologie a démontré que les ravinements verticaux autour du terrain ne peuvent avoir été provoqué que par des coulées d’eau fréquentes, régulières, sur la durée etc , or pour avoir un tel climat dans la région il faut remonter plusieurs autres milliers d’années en arrière pour avoir un tel climat..
rien que ça remets en cause l’histoire officielle...
Mais aussi les découvertes à Gobekli tepe en Turquie enfin etc..
le mensonge semble s’effondrer sous son propre poids, et ceci sur tous les sujets où il est le socle du faux..https://grahamhancock.com/karahan-tepe-gobekli-tepes-sister-site/bonne journée bien sur..
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@Géronimo howakhan
« et après le début de l’empoisonnement par des antibiotiques toxiques. »
C’est écrit dans l’article.
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Même traduit en Français, c’est toujours du grand n’importe quoi.
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@eddofr
Puisque les « virus » sont des artefacts, il est certain que les antibiotiques n’auront strictement aucun effet sur ces « virus ». C’est une cautèle sur une jambe de bois.
Par ailleurs, savez vous de quoi meurent les gens qui développent une maladies respiratoires ? Ils meurent très généralement de « pneumonie ». Et comment soigne t-on les « pneumonies » ? Par des antibiotiques.
... « La principale cause de mortalité de la grippe en France n’est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l’organisme est fragilisé. Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. Cette susceptibilité à la surinfection bactérienne se déclare en général de 7 à 14 jours après l’infection grippale et l’issue peut parfois être fatale en l’absence de traitement par des antibiotiques, comme cela a été la cas lors de la grippe espagnole. »..
Lorsque votre système immunitaire de défense de première ligne des voies respiratoires est dépassé, les agents pathogènes, les « toxines » de la pollution atmosphérique, peuvent passer dans la circulation sanguine et y causer des dysfonctionnements de l’endothélium (thromboses, problèmes de coagulation). Ceci peut mener à des arrêts cardiaques et à des embolies pulmonaires, par exemple.
Concomitamment, les bactéries « commensales », présentes dans le tractus respiratoire, ont la place libre pour investir les voies respiratoires et pénétrer, elles aussi, la circulation sanguine. Cela s’appelle une pneumonie.... «
La pneumonie est une infection respiratoire aiguë du tissu pulmonaire, due à une bactérie. Elle atteint, le plus souvent, un des deux poumons.
Elle peut être due à plusieurs types de bactéries. Le plus souvent, c’est une bactérie appelée Streptococcus pneumoniae ou pneumocoque qui en est la cause. »
https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/pneumonie/definition-facteurs-risque
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@Legestr glaz
’’Lorsque votre système immunitaire de défense de première ligne des voies respiratoires est dépassé, les agents pathogènes, les « toxines » de la pollution atmosphérique, peuvent passer dans la circulation sanguine ...’’
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En dépit des dénégations des labos, la vaccination contre les virus revient à injecter directement dans le sang les virus ou ce qui y ressemble, avec en plus des toxines et poisons divers. C’est donc la tactique du cheval de Troie, une tactique qui n’a jamais sauvé aucun organisme envahi, bien au contraire, ce n’est jamais son but.
Si l’injecté s’en sort contre cet empoisonnement artificiel ce n’est pas par magie — il y faudrait au moins ça — mais bien grâce à un système immunitaire performant, un système qui prouve par cet exploit qu’il serait capable de vaincre une contamination naturelle largement moins nocives puisque ’’pure’’, et en disposant de la totalité de ses mécanismes de défenses, les premières lignes.
Si tant de personnes ont pu résister à ces injections, c’est probablement parce qu’une très grande proportion de flacons ne contenaient que des placebos, comme le prouve cette étude britannique : https://francemediasnumerique.com/2021/12/22/un-scientifique-britannique-revele-une-analyse-de-donnees-qui-fait-leffet-dune-bombe-il-suit-des-lots-de-pfizer-moderna-et-janssen-et-constate-que-certains-lots-sont-50-fois-pires-que-da/
Ça fait froid dans le dos.
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extrait : En effet, alors que les scientifiques en laboratoire pensent travailler avec des virus, ils ne travaillent en fait qu’avec certains composants de tissus ou de cellules mourants acquis dans des circonstances très particulières. Leur croyance fondamentale est que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils sont infectés par un virus.
En réalité, ces tissus et cellules de laboratoire meurent parce qu’ils sont affamés et empoisonnés par la méthodologie des tests en tant que telle. Les virologues croient principalement à l’existence des virus parce qu’ils administrent aux tissus et aux cellules du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés « infectés », et ce, il faut le souligner, en plus de l’arrêt de la solution nutritive et après le début de l’empoisonnement ( des tissus et cellules) par des antibiotiques toxiques. La grande découverte, cependant, est que le tissu et ces cellules mourraient également, et ce de manière totalement autonome - même sans l’ajout des matériaux supposés « infectés ».
La situation actuelle
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