@eddofr
Votre raisonnement ne tient que parce que vous postulez que les maladies respiratoires sont des maladies « transmissibles ». Elles ne le sont pas, et la manière dont ces épidémies respiratoires « s’abattent » « brusquement » sur les populations, et disparaissent « aussi brusquement », démontre qu’il n’y a ni contamination ni contagion inter-humaine. Les gens tombent malades parce qu’ils sont soumis, « en même temps », aux mêmes conditions atmosphériques, qu’ils subissent, « en même temps », l’agression de « toxines atmosphériques ».
Ces épidémies de maladies respiratoires « surgissent » lorsque les taux de pollution atmosphérique sont « augmentés », lors d’inversions thermiques, lors de la présence d’un anticyclone en hiver. Ceci n’est aujourd’hui plus à démontrer tellement les études qui le constatent sont nombreuses. Ainsi, si votre voisin, ou collègue, ou membre de la famille, est malade d’une maladie respiratoire, ce n’est pas parce que vous leur avez « transmis » la maladie, mais, plus exactement, parce qu’il aura « respiré » le même air pollué que vous.
D’ailleurs, un fait « incontournable » et « visible de tous », c’est que les gens malades de maladies respiratoires dans l’hémisphère Sud (Australie, Nouvelle Zélande) ne propagent « jamais » leur maladie dans l’hémisphère Nord, et l’inverse est vrai. Ce ne sont pas les « gens malades » qui contaminent les personnes saines, mais les « toxines » présentes dans l’air qui rendent les gens malades lorsque certaines conditions atmosphériques sont rassemblées. Les faits nous le démontrent mais la « propagande » voudrait qu’il en soit autrement pour « proposer la vaccination de masse ».
Air Pollution and Noncommunicable Diseases
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6904855/
Pollution de l’air et maladies non transmissibles : examen par le comité environnemental du Forum des sociétés respiratoires internationales, partie 2 : Pollution de l’air et systèmes organiques
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30419237/