On aimerai savoir sur quels critères est calculée l’élévation
du niveau des mers.
Si on se contente de calculer, le volume des glaces polaires une fois intégré à l’océan
actuel après fonte, ça parait un peu léger. Tellement de paramètres difficilement
mesurables entrent en ligne de compte.
Parlons de l’épaisseur et donc d’un volume calculé théorique
des glaces polaires.
En 2019 dans le cadre d’une mission d’étude Polar stern dont on peut revoir l’histoire
dans ce document en lien, on voit, 2 chercheurs installer un appareil de mesure
d’épaisseur des glaces. En avouant que les mesures satellitaires effectuées jusqu’ici,
avaient surestimée cette épaisseur.
https://www.france.tv/france-5/science-grand-format/2874157-expedition-arctique-au-coeur-du-rechauffement-climatique.html
Avancez curseur à 00.41
50…..« Les satellites ont surestimé l’épaisseur de la glace »
D’autre part les océans ne sont pas des piscines
rectangulaires à paroi fixes. La lithosphère au fond des océans est en perpétuel
mouvement tectonique, sans compter les, phénomènes volcaniques sous-marins, à
ce jour seuls 5% des fonds marins ont été explorés.
90 % du volcanisme terrestre est sous-marin, et on n’en
sait pas lourd, comparer aux connaissances nécessaires.
Exemple récent ; Depuis mai 2018, l’île de Mayotte, qui
fait partie de l’archipel des Comores dans l’océan Indien, est le théâtre d’un
événement magmatique de grande ampleur
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-immense-volcan-sous-marin-train-former-mayotte-79074/#x
Fin 2021, le volcan sous-marin Hunga Tonga-Hunga Ha’apai est
entré en éruption, créant une nouvelle île qui a fait irruption de manière
subaérienne le 15 janvier 2022, envoyant un panache à 58 km d’altitude
pénétrant dans la mésosphère
https://www.climato-realistes.fr/leruption-volcanique-de-tonga-et-les-precipitations-record-dans-lest-de-laustralie-et-de-la-nouvelle-zelande/
On voit bien que tout n’est pas clair dans ce domaine comme
dans tout ce qui touche à l’évolution climatique, on est loin de tout
maitriser. Les critères pris en compte par les experts Giec et des ONG parano
climatiques sont tous plus ou moins orientés, pour alarmer les citoyens depuis
des années et les culpabiliser.