« Les seuls points communs qui semblent émerger sont un changement de situation concernant l’immigration et une réaction à l’agression culturelle des activiste rangés dans la catégorie »woke« . »
C’est exactement ça, les Espagnols rejettent le mouvement LGBT, une arme de propagande du Nouvel Ordre Mondial satanique pour subvertir et détruire la civilisation européenne
Les lobby mondialistes, en infiltrant leurs élites politiques aux plus importantes charges des États et des média depuis des décennies, vont surfer sur la vague LGBT pour forcer le déstructuration des identités des peuples. La famille, les enfants sont les cibles principales, les points névralgiques de la structure de la civilisation européenne.
Le Ministre de l’Égalité de la gauche espagnole pro-LGBT Irene Montero fait la promotion de la pédophilie, si l’enfant est « consentant ». Comme si un enfant de 5 ans était en âge de savoir ce qui est bon pour lui en terme de relations sexuelles avec des adultes. Absolument ignoble.
Les associations LGBT militent pour la marchandisation du corps des femmes, leur fonction est de devenir un nid de productions d’enfants à vendre aux couples LGBT, qui peuvent ainsi acheter un gamin sur catalogue en quelques clics sur Internet. Le site « La gestation pour autrui » propose aux couples LGBT l’achat en ligne d’enfants nés par GPA, pour un tarif de base de 45 700 euros, la mère est choisie sur catalogue. La vie à naître, petit homme à l’image de Dieu autrefois sacrée dans la religion catholique, devient une marchandise tarifée qui se négocie comme un vulgaire meuble IKEA. La femme, autrefois symbole de la puissance de Sainte Marie dans toutes les Églises, protectrice des enfants, des plus faibles, annonciatrice de la victoire sur le serpent, devient un incubateur ambulant à louer.
Le mouvement LGBT est à la pointe du combat pour faire légaliser l’avortement sous toute ses formes, une négation de l’humanité, quand une civilisation tue ses enfants en masse en refusant le « miracle qui sauve le monde » par lequel Hannah Arendt qualifiait la naissance, elle finit soit par s’éteindre, soit par être submergée.