@Grincheux « Pas sûr d’ailleurs que cette suite soit contenue dans le troisième objectif en question. En tous cas, ça n’a jamais été exprimé par l’intéressé. Le rest, oui. »
Lors de la session plénière annuelle du club Valdaï le 22 octobre 2021 à Sotchi, le président russe Vladimir Poutine s’est focalisé particulièrement sur ce troisième point, en dénonçant l’idéologie progressiste du monde occidental, qui mènera à sa perte :
« Dans nombre de pays occidentaux, le débat sur les droits des hommes et des femmes s’est transformé en une parfaite fantasmagorie.
Les fanatiques de ces nouvelles approches vont même jusqu’à vouloir abolir purement et simplement ces concepts. Quiconque ose mentionner que les hommes et les femmes existent réellement, ce qui est un fait biologique, risque d’être ostracisé. »Parent numéro un« et »parent numéro deux« , »’parent biologique« au lieu de »mère« et »lait humain« remplaçant »lait maternel« car cela pourrait déranger les personnes qui ne sont pas sûres de leur propre sexe. Je le répète, ce n’est pas nouveau ; dans les années 1920, les soi-disant »Kulturtraegers« (transmetteurs de culture) soviétiques ont également inventé une nouvelle langue croyant qu’ils créaient une nouvelle conscience et changeaient les valeurs de cette façon. Et, comme je l’ai déjà dit, c’est un tel gâchis qui fait encore parfois frissonner.
Sans parler de choses vraiment monstrueuses quand on apprend aux enfants dès leur plus jeune âge qu’un garçon peut facilement devenir une fille et vice versa. C’est-à-dire que les enseignants leur imposent en fait un choix que nous avons tous soi-disant. Ils le font tout en excluant les parents du processus et en forçant l’enfant à prendre des décisions qui peuvent bouleverser toute sa vie. Ils ne prennent même pas la peine de consulter des psychologues pour enfants – un enfant de cet âge est-il même capable de prendre une décision de ce genre ? Appeler un chat un chat, cela frôle le crime contre l’humanité, et cela se fait au nom et sous la bannière du progrès. »