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Commentaire de Legestr glaz

sur Surmortalité 2022 : l'Insee montre que les jeunes meurent


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Legestr glaz Legestr glaz 13 juin 2023 06:39

@Deepnofin

Copié-collé : « Alors, puisqu’on a une Oligarchie supranationale qui a monté cette arnaque du Covid, avec un virus augmenté en labos (gains de fonctions) »…

Vous allez bien vite en besogne. « Gains de fonctions » écrivez vous ? Savez vous que jamais un « virus »n’a été vu dans son intégralité, que jamais un « virus » n’a pu être isolé et purifié à partir d’une sécrétion humaine, et même animale.
Parce que les « virus » sont supposés être de taille « manométrique ». Vous évoquez des « gains de fonctions » : c’est tout à fait impossible en l’état actuel de la technologie de la recherche scientifique.
Les gains de fonctions existent bel et bien, pour des nanoparticules, mais cette recherche part du matériau primaire qui est « éclaté » en nanoparticules dont on cherche ensuite à savoir les propriétés. Rien à voir absolument avec les « gains de fonction » des « virus » dont vous faites état.

... « Le Dr Lanka a rassemblé ce qu’il considérait comme les principaux points qui font s’effondrer le château de cartes connu sous le nom de virologie. Ces 7 étapes ont été formulées au cours de nombreuses années de recherche minutieuse sur les défauts de la virologie. Comme il l’a fait avec l’essai sur la rougeole, le Dr Lanka a compilé un dossier très convaincant expliquant pourquoi les « virus » n’existent pas et pourquoi la virologie est une pseudoscience construite sur des fondations frauduleuses.

1. Les virologues interprètent la mort des cellules en laboratoire comme virale

2. Les virologues assemblent mentalement les informations génétiques les plus courtes des cellules mourantes pour former un très long brin génétique, qu’ils produisent comme le brin génétique d’un virus.

3. Pour l’alignement d’un virus, les virologues ont toujours besoin d’un brin génétique donné d’un virus. Pour cela, cependant, ils utilisent toujours un brin génétique généré génétiquement/informatiquement et jamais un vrai, un trouvé dans la réalité.

4. Les virologues n’ont jamais vu ni isolé de « virus » chez les humains, les animaux, les plantes ou leurs fluides. Ils ne l’ont fait qu’en apparence, indirectement et uniquement au moyen de systèmes cellulaires très spéciaux et artificiels en laboratoire.

5. Les virologues n’ont jamais isolé, caractérisé biochimiquement ou obtenu leur supposé matériel génétique à partir des supposés virus qu’ils photographient à l’aide d’images au microscope électronique. Ils n’ont jamais mené ni publié d’expériences de contrôle pour savoir si, après avoir isolé ces structures, il était effectivement possible de détecter des protéines « virales » (l’enveloppe du virus) et, surtout, le génome viral, censé être le noyau central

6. Les virologues signalent des artefacts typiques de tissus/cellules mourants et des structures typiques qui apparaissent lorsque les propres composants de la cellule tels que les protéines, les graisses et les solvants utilisés sont tourbillonnés, sous forme de virus ou de composants viraux. Ici aussi, il n’y a pas d’expériences de contrôle avec des cellules/tissus qui n’ont pas été infectés mais qui ont également été traités.

7. Les soi-disant tentatives de transmission que font les virologues pour prouver la transmission et la pathogénicité des virus suspectés réfutent toute la virologie. Évidemment, ce sont les expériences elles-mêmes qui déclenchent les symptômes, ce que les expérimentations animales fournissent comme preuve de l’existence et de l’efficacité des virus suspectés. Ici aussi, il n’y a pas de tentatives de contrôle dans lesquelles exactement la même chose est faite, uniquement avec du matériel non infecté ou stérilisé.


On parle de »science" ou pas ? Les virologues, comme le professeur Didier Raoult, savent parfaitement bien que le protocole qui amène à l’isolement, à la purification et au séquençage des virus comporte d’énormes biais méthodologiques. Mais la virologie est un business comme un autre.


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