@Deepnofin
désolé pour le retard, mais la perte de mon dernier commentaire est toujours énervant.
Nous sommes d’accord pour voir Dieu entier se divisant en particules constitutives de l’Univers physique et ce, pour les deux raisons que je donne précédemment.
Pour ce qui est des pôles, vous faites une erreur élémentaire, car, ici, les deux pôles sont intriqués l’un à l’autre et où il ne peut donc pas y avoir absence de l’un ou de l’autre, mais sens de polarité, donc, du plus vers le moins ou inversement. Condition pour que l’Univers existe réellement et c’est ce que toute expérience physique démontre. Le principe de polarité est le principe de contraste qui permet de connaître une chose, sans cela, il est impossible de connaître quoi que ce soit. On ne peut pas distinguer le blanc du blanc, sauf pour la léssive qui lave plus blanc que blanc !
Ici, un principe établie ne peut pas être supprimé, être absent, on peut seulement le rendre discret par changement d’échelle, en raison notamment du changement de sens de polarité et autre mécanisme (mais je vais pas développer).
Mais je vous l’ai écrit, essayez donc de trouver un mouvement quelconque identifiable sans qu’il soit dû à une tension, qui n’implique pas un sens de polarité et venez donc me le présenter.
Pour la fourmi de Langton, j’écris que l’ordre de tourner en rond est écrit dans le programme, parce que celui-ci dit à la fourmi d’avancer d’une case et de tourner soit à droite soit à gauche selon la couleur de la case, or, changer de direction sur un plateau quadrillé, consiste à faire un angle de 90° et 4x90°= 360° ! Bref, c’est la « quadrature du cercle ». A partir de là, la fourmi trouvera ou non le « bon enchainement » s’il y a lieu, mais il s’agit là d’une émergence uniquement dû à notre propre ignorance et impossibilité à calculer à l’avance par une formule simple l’état quelconque du plateau et de la fourmi, mais uniquement avec une formule qui grandi de manière exponentielle avec l’évolution de la fourmi sur le plateau, Résultat, il est infiniment plus simple de faire le chemin plutôt que de le calculer.
L’émergence a donc lieu seulement la première fois, ensuite, la fourmi fera toujours le même chemin, sauf si on change les paramètres de départ.
Quant à l’IA, nous ne serons jamais d’accord, pour ma part, une IA peut effectivement simuler à la perfection la conscience sur la base de sa mémoire et de son architecture liée à son programme, mais ce sera toujours qu’une illusion vis à vis de l’être, car l’IA n’a pas de finalité propre, cela n’a aucun sens.
Ici, vous oubliez que la détermination de sens implique le libre arbitre, c’est à dire, suivre un code ou loi ou bien s’en détourner, or, que feriez vous d’une IA qui vous contredisent et s’opposent à votre volonté ? Accepterez vous de vous soumettre à l’IA ? Absurde, et d’autant plus absurde que ceux qui ont le pouvoir font tout pour réduire la conscience humaine à celle d’une machine pour en avoir le contrôle le plus total possible et là, les mêmes chercherait à développer une conscience pour les machines. Excusez moi de l’écrire, mais faut être « con » pour le croire. Cela marche donc très bien avec les fétichistes, ceux qui voient une machine comme un être précieux, tel celui qui préfère sa voiture à sa femme, mais ce n’est là qu’une aberration de l’être qui n’en fait pas une réalité physique, mais une vérité de l’imaginaire.
Une IA peut échapper au contrôle de ses programmeurs que si le programme le permet ou bien si un virus informatique l’a modifié en ce sens, mais en aucun cas il peut s’agir d’une émergence de la conscience d’être. Pour une machine, il n’y a pas de notion de choix, mais seulement de hiérarchie des ordres données. Ainsi, un neveu me racontait une expérience où l’IA avait la possibilité de mentir et de dissimuler des infos, ce qu’elle a fait, puisque c’était écrit dans son programme. Devinez quoi ensuite ? Les responsables ont tout arrêté car une telle IA est comme une voiture qui freinerait pas une fois sur 10. On est bel et bien dans une forme d’aberration du cogito humain. Un point de singularité qui dépasse le cadre logique et donc régresse dans l’aberration, car on ne peut pas aller au delà de la logique, seulement en sortir.
Ici, l’intelligence est définie comme la capacité d’action en conséquence de la connaissance et non pas le sens de l’action qui est le propre de l’être.
Bref, cela ne contredit pas l’alchimie mais lui donne un cadre logique.
03/07 10:53 - Hervé Hum
02/07 09:09 - Deepnofin
@Deepnofin Mince, j’avais hésité à rajouter quelques chose concernant l’IA, pour ne (...)
28/06 09:41 - Hervé Hum
@Hervé Hum Ici, l’intelligence est définie comme la capacité d’action en (...)
28/06 09:28 - Hervé Hum
@Deepnofin désolé pour le retard, mais la perte de mon dernier commentaire est toujours (...)
26/06 09:33 - Hervé Hum
@eau-mission Le but de procéder par essai est d’accepter l’erreur, mais avec la (...)
26/06 09:17 - Hervé Hum
@Deepnofin EN validant mon commentaire, celui-ci a été « mangé » par l’ordi, aussi, je (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération