@lecoindubonsens
@ « Arriverons
nous à trouver un juste milieu de bon sens ».
J’ai de gros doutes
sur cette perspective. Dans la paranoïa actuelle centrée sur l’obsession à
montrer du doigt la responsabilité de l’humain d’abord dans le domaine
climatique.
Une
mécanique implacable s’est mise en
marche : l’origine anthropique du réchauffement acceptée comme une vérité
scientifique, comme dogme, les décideurs politiques sommés de prendre dans
l’urgence des mesures drastiques pour réduire les émissions de gaz à effet de
serre, une opinion manipulée, résignée à la catastrophe inéluctable.
Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming »
anthropique sert à tout justifier : les épisodes de canicule, une,
inondation inédite, une tornade comme
jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des
ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des
chenilles processionnaires en plus ! vivrions-nous les débuts de l’apocalypse !
Tout est pain béni pour servir ce dogme.
Un programme de décroissance forcée n’entamerait qu’à peine le
réchauffement climatique, qui va se poursuivre avec ses conséquences, quoi
qu’il arrive. Beaucoup de scientifiques sensés le répètent.
Cette propagande sur une
catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l’ombre les catastrophes
mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales :
les guerres et la faim dans le monde, la pollution des sols, des mers et des rivières (par des
composants chimiques plus problématiques que le CO2), l’appauvrissement de la
biodiversité,...etc
Bref, on peut constater que
l’argument climatique développé par les politiques, une fois de plus, ne sert
qu’à justifier des taxes, et favoriser les phénomènes spéculatifs sur la nature, en jouant sur la peur
et la culpabilité des citoyens. On peut s’attendre aux mêmes dérives pour l’eau..
Toutes ces croyances en une possibilité de lutter contre la nature
relèvent de l’imposture. Prétendre que l’objectivité des informations
scientifiques est suffisante aujourd’hui pour mettre tout le monde d’accord sur
ce sujet relève d’un scientisme faussement naïf, pour ne pas dire d’un
machiavélisme dogmatique.