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Commentaire de charly10

sur L'eau sera-t-elle le bien commun le plus précieux du XXIème siècle ?


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charly10 28 juin 2023 11:29

@lecoindubonsens

@ « Arriverons nous à trouver un juste milieu de bon sens ».

J’ai de gros doutes sur cette perspective. Dans la paranoïa actuelle centrée sur l’obsession à montrer du doigt la responsabilité de l’humain d’abord dans le domaine climatique. 

 Une mécanique implacable s’est mise en marche : l’origine anthropique du réchauffement acceptée comme une vérité scientifique, comme dogme, les décideurs politiques sommés de prendre dans l’urgence des mesures drastiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, une opinion manipulée, résignée à la catastrophe inéluctable.

Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : les épisodes de canicule, une, inondation inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! vivrions-nous les débuts de l’apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme. 

Un programme de décroissance forcée n’entamerait qu’à peine le réchauffement climatique, qui va se poursuivre avec ses conséquences, quoi qu’il arrive. Beaucoup de scientifiques sensés le répètent.

 Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l’ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l’appauvrissement de la biodiversité,...etc

 Bref, on peut constater que l’argument climatique développé par les politiques, une fois de plus, ne sert qu’à justifier des taxes, et favoriser les phénomènes spéculatifs sur la nature, en jouant sur la peur et la culpabilité des citoyens. On peut s’attendre aux mêmes dérives pour l’eau..

Toutes ces croyances en une possibilité de lutter contre la nature relèvent de l’imposture. Prétendre que l’objectivité des informations scientifiques est suffisante aujourd’hui pour mettre tout le monde d’accord sur ce sujet relève d’un scientisme faussement naïf, pour ne pas dire d’un machiavélisme dogmatique.

 


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