@Legestr glaz
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La chronicité des maladies respiratoires hivernales est tout à fait actuelle et ne remonte pas plus qu’à la première Révolution industrielle. Auparavant cette chronicité n’existait pas.
Peut-être. Si vous avez des éléments pour étayer, je suis preneur.
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« Le mot influenza, d’origine latine (influentia, signifiant « influence »), est utilisé en Italie depuis au moins 1504.
Ok. Influenza = épidémie : changement lexical qui reprend une vieille idée de maladies qui progressent de proche en proche entre les humains.
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Détrompez vous les nuages de pollution peuvent parcourir de très grandes distances, des parcours »intercontinentaux".
C’est un facteur, je l’ai écrit. Le facteur premier que je relève, avec le graphique de Chaillot (et mon expérience comme tout un chacun) est que les rhumes (grippes, angines...) viennent surtout avec le froid.
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Les virus sont des artefacts, ils naissent du processus mis en oeuvre pour les rechercher.
Là, je vous laisse à votre certitude, je n’ai pas la réponse. Les animaux d’élevages aussi ont des maladies soudaines et collectives, avec la concentration. Il y a bien quelque chose. Ce que je sais, c’est qu’il y a une classification actuelle des micro-organismes entre les bactéries, les virus, les protozoaires, les champignons. Et je vous ai montré des images de microscopes avec différents types de cercles définis comme virus : peut-être que c’est faux, mais il me faudrait un peu plus qu’une affirmation.
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Je sais pour ma part, qu’on a en moyenne deux kilos de microbiote. Et que sans microbiote, on ne peut pas vivre. Les micro-organismes ont leur ambivalence : ils peuvent nous aider, comme nous tuer. Comme le mycelium nécessaire à la vie de la forêt : dès qu’un arbre faiblit, il l’attaque.
Donc là, je parle d’une médecine qui se rapprocherait de celle de Béchamp : les ptites bestioles du microbiote ont leur vie. Avant tout la médecine devrait privilégier l’étude et la santé du système immunitaire naturel, notre premier hôpital qui fonctionne H24 de la naissance à la mort. C’était tout le travail de fond de Luc Montagnier, dès le SIDA, évidemment rejeté, les big pharma préférant Anthony Fauci.
Pour le covid, il y avait évidemment d’autres moyens de soigner que la seringue, qui n’a été qu’une escroquerie criminelle.