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Commentaire de Renaud Bouchard

sur En attendant les Barbares. Insurrection, émeutes, pillages ? Vous n'avez encore rien vu de la suite à venir...


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Renaud Bouchard Renaud Bouchard 6 juillet 2023 10:22

@Com une outre

Bonjour et merci pour votre commentaire.

Alors M. Bouchard, écrivez-vous, remettez-vous en question au lieu de dire comme un enfant « c’est pas nous, c’est la gauche ».

Me remettre en question ? Je vois, je constate, j’analyse, j’en tire des conclusions qui sont d’ailleurs confortées aussi bien par ls faits que par d’autres observateurs.

Relisez bien mes articles car il me semble que vous m’avez mal lu.

La camarilla politique qui encombre le paysage politique en France n’est animée que par un seul objectifs : le dur désir de durer.

Gauche, droite, centre, peu importe.

Ces catégorisations ne présente plus aucun intérêt.

La droite est d’une nullité absolue comme l’est la gauche. Il n’est qu’à écouter M. Hollande parler de son retour (de la gauche) sur France Culture(s) hier matin pour mesurer l’étendue du désastre :https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-matins/francois-hollande-est-l-invite-des-matins-d-ete-horowitz-et-polanski-une-enfance-au-ghetto-de-cracovie-7868184

Chacun joue parfaitement son rôle, de MM. Macron,Zemmour, Melenchon à Mme Le Pen, lesquels ne sont que dans une fausse opposition.
De MM. Giscard à Macron en passant par MM.Mitterrand, Chirac, Hollande, Sarkozy, la ligne est la même, sans solution de continuité, avec de pseudo alternances électorales et une politique d’essuie-glace (gauche, droite, gauche, droite) sur un pare-brise tellement sale que l’on n’y voit plus rien alors que la radio gueule à fond et que le véhicule continue sa course vers le mur à tombeau ouvert, à grands coups d’avertisseur.

Ce monde est en perte de vitesse et le klaxon d’alarme du décrochage retentit, 

Quant à moi, je sais très exactement où je vais.

« Le cheval calme, en avant, et droit » (général Alexis François L’Hotte au XIXe siècle (1825 – 1904), écuyer en chef et commandant du Cadre Noir).

Bien à vous,
Renaud Bouchard 


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