@Tolzan
« Le ministère pond régulièrement des réformes improvisées, inadaptées et les enseignants en font les frais... les professeurs ont ainsi connu la mode des tests de début d’année : des cahiers étaient édités chaque année pour tester les compétences des élèves avec des codages très complexes...
Puis, ce fut la mode des cahiers d’évaluations rapidement abandonnés eux aussi : les enseignants devaient y noter les différents acquis et progressions de l’élève dans l’année...
On a connu en français de nombreuses réformes du baccalauréat : programmes obligatoires avec des oeuvres imposées à l’oral, modification des épreuves écrites, introduction du corpus de textes que les élèves doivent étudier sous forme de synthèse, exercice assez difficile qui n’est pourtant notée que sur 4 points.
On a expérimenté aussi des innovations dans le vocabulaire de l’analyse : il fallait utiliser l’expression : »discours narratif« qui contribue à perturber et troubler les esprits puisque les élèves avaient appris antérieurement à distinguer le discours et le récit !
Que d’incohérences ! Que d’absurdités et d’aberrations ! »