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Commentaire de charclot

sur L'ultradroite fait peur mais l'ultragauche pas moins : quand Fatima Ouassak appelle à tout brûler !


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charclot charclot 21 juillet 2023 14:53

je ne sais pas qui est le plus dangereux mais même réuni ultra droite et ultra gauche feront toujours moins de morts que l’ultra capitalise.... Quand aux sociétés pluriethniques et leurs dangers, tant qu’on peut avoir des bébés métis c’est qu’on est de la même espèce du coup tout devient possible. Evidemment comme la gloire de la race importe plus que son intelligence faut pas être étonné que les morts pour la France doivent montrer leurs papiers ! Reste seulement à comprendre que concentration de pauvres entraine forcement délinquance. Toutes les nationalités qui ont foulés notre sol à un moment de l’histoire ont été parqués dans des camps puis dans des bidonvilles avant de prendre la place des français pour qui on avait fait construire les cités HLM , barres de béton concentrationnaires. Du coup maintenant ceux qui occupent ces cités sont un sous prolétariat comparable ( avec beaucoup d’améliorations tout de même) aux mineurs et autres canuts des siècles passés...

La pauvreté s’entretient pour que la classe moyenne , jalouse, puisse avoir peur et voter pour l’ordre et la sécurité apparents. La question n’est pas de savoir si les problèmes sont d’origine ethniques mais bien de revoir la question au prorata de la pauvreté endémique qui s’est instauré en France ces 15 dernières années et du martèlement médiatique des séries américaines et d’une sous culture parallèle où il n’est plus question de lutte des classe mais bien de posséder l’apparence , bagnole , femelle , téléphone quitte en cela à détruire tout le reste.

D’un coté les gens râlent parce que l’insécurité les embarrassent, insécurité toute relative, de l’autre les gens râlent parce qu’ils n’ont pas assez de liberté, souvent les mêmes et dans la même phrase tout en occultant complétement la donnée principale du problème , le fait qu’il y ait malgré tout le décorum une dichotomie profonde entre l’esprit de la nation et son fonctionnement.

Quand on ne peut pas virer définitivement des affaires publiques tel ou tel politicien corrompu , et non pour 5 ans, on ne peut pas avoir le beurre. Quand on ne peut pas faire condamner une entreprise internationale au prétexte qu’elle fait du chantage à l’emploi, on perd de la fierté nationale et donc on a pas non plus le sourire de la crémière alors qu’il n’est pas question de remettre en question les modalités lié au travail, puisque nous sommes en surpopulation et que les modes de travail anciens doivent être revus on perd ce qui fait l’essence d’un peuple son inventivité. 

L’amertume est devenu le condiment essentiel de la pensée et avec ce gout acre d’un immense raté les pantins du capital prépare le peuple aux fumets exsangues de la guerre... Reste à savoir si la colère va enfin changer de camp mais à la vue de l’aisance avec laquelle on manipule les peuples l’espoir n’est plus de mise.


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