@Lynwec
L’empreinte des activités humaines sur l’environnement va s’accélérer avec le déploiement des « énergies renouvelables » (le « combustible » est renouvelable, pas les matériaux constituant les immenses collecteurs pour l’utiliser, donc appellation très trompeuse) et non pas diminuer.
Rien n’indique que l’augmentation du CO2 dans l’air nous mène à une catastrophe. Nos simulations numériques ne sont que de mauvaises boules de cristal et de l’avis des spécialistes ne peuvent rien prédire. La plupart des simulations utilisées par le GIEC quand elles sont confrontées à l’évolution des températures sur les 30 ans passés, surchauffent plus l’atmosphère que la réalité qui a été observé (le « mystère de la chaleur manquante) et la divergence croît avec le temps, donc parler des températures à un siècle ou deux est risible.
Vous avez raison. Ceux qui veulent »transitionner« sont de la même mouture que ceux qui ont planifié la mondialisation »à la chinoise", où on extrait dans un endroit, fabrique des composants dans de multiples, assemble ailleurs et ventile à échelle planétaire les produits finis, le seul paramètre jugé libre étant la consommation d’énergie (surtout fossile). Ce sont les mêmes qui vont déployer l’I.A. qui contrairement à l’intelligence naturelle ne consomme pas de produits biodégradables, n’est pas elle-même biodégradable, est incapable de se reproduire naturellement et consommera des montagnes de ressources minières et énergétiques.
Et nos descendants devraient vivre comme au Moyen-âge pour que cette dystopie pour rien (si une minorité qui en profiterait) accouche ?
Notre civilisation est partie sur une mauvaise trajectoire et le projet actuel est de le poursuivre en changeant l’habillage.
On ne peut tromper la Nature, encore moins la faire taire comme les lanceurs d’alerte. Le résultat de nos délire sera visible.