Bonjour @Rosemar
"Un rappel : bien que la voiture électrique en tant que telle ne pollue
pas, sa fabrication, quant à elle, pollue plus que pour une voiture
traditionnelle. L’extraction de certains matériaux nécessaires à la
fabrication des batteries ainsi que leur construction sont facteurs de
pollutions colossales.«
Vous ne semblez pas bien pénétrer les principes »modernes« et »post-modernes« guidant la transition énergétique, telle que promue tant plus ou moins naïvement par nos »€scrolos« contemporains que par la quasi unanimité de la clique €urocrate.
Dans la droite logique mondialiste de délocalisation de la production et des emplois vers des cieux fiscaux et sociaux plus cléments — ce qui, avant de leur substituer des programmes informatiques plus évolués, offre à vous et vos collègues enseignants l’avantage de pouvoir dès le berceau concentrer l’essentiel de leur pédagogie tant sur l’anxiété climatique et les saines vertus de l’inclusivité transidentitaire (et transhumaniste) que sur la formation de nos futurs chômeurs aux rudiments de remplissage des formulaires de l’ANPE et de leurs innombrables critères d’exclusion -, toute la beauté de la transition énergétique consiste à délocaliser la pollution, tant vers les pays producteurs des matériaux, terres rares et autres minéraux très polluants à isoler qui lui sont nécessaires qu’hors de nos centres urbains et vers nos campagnes pour ce qui est des éoliennes et autres nuisances associées à la production énergétique »verte« , notamment en regard de leur gigantisme.
De toute manière, seuls les bobos et bénéficiaires des revenus les plus confortables auront au final leur vertueux accès assuré aux véhicules électriques, reléguant par là même les prolos, »gens qui ne sont rien« et autres »polluants" usagers de véhicules thermiques hors de nos centres-villes.
Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations !