@Eric F

Le prix Nobel n’a pas été décerné, qu’est-ce que ça change ? Le fait qu’il ait été décerné prouve qu’il y avait quand même quelques personnes qui ne considéraient pas qu’il était le monstre diabolique et belliqueux comme tout le monde le croit unanimement aujourd’hui. Dire, ou sous-entendre le contraire est d’ailleurs un crime puni très sévèrement, donc je ne le dis pas.
Et les Anglais et les Américains, ils n’étaient impérialistes, ils n’envahissaient pas par la violence des pays aux quatre coins du monde, en réduisant les populations populations à la famine comme en Irlande, en Inde, etc ?

Les Français n’en avaient rien à foutre de la Pologne si elle était incapable de s’entendre avec son voisin, et ils avaient bien raison, ils s’en foutaient autant qu’après 1945 quand elle a été sous la domination soviétique et que les catholiques ont été persécutés.

Le racialisme a été condamné en 1938 par l’encyclique Mit Brennen Sorge, en même temps qu’une autre condamnant l’idéologie communiste, c’est la seule condamnation du caractère raciste de l’idéologie nationale-socialiste qui ait été faite avant la guerre, c’est le seul État qui ait condamné le nazisme.

Le redressement de l’Allemagne dû exclusivement à l’industrie d’armement c’est une légende, il y a eu des constructions de logements par millions, des stations balnéaires, le tourisme populaires, des autoroutes, des travaux d’urbanisme, des autoroutes, toutes les industries, la recherche et l’artisanat, les arts, le folklore, des lois sociales très généreuses pour couper l’herbe sous les pieds des Bolcheviques qui étaient les seuls adversaires du NASDAP (par exemple remboursement du crédit d’acquisition ou de construction du logement familial entièrement remboursé par les allocations après le 3e enfant).

Devant la faillite absolue de la République de Weimar, les Allemands avaient le choix entre un regime communiste de l’Internationale-Socialiste, ou un régime National-Socialiste, ils ont choisi le national, ce qui ne pouvait que déplaire aux Anglais puisqu’il comprenait le protectionnisme. Vu ce qui se passait depuis 1917 en Russie, en Hongrie, en Ukraine avec l’Holodomor, la terreur policière, les goulags, ils ont choisi le second. Vous auriez choisi quoi ?

Pour s’en sortir, l’Allemagne ne pouvait rien faire d’autre que de s’attaquer aux causes du désastre : les clauses du Traité de Versailles, se liberer de l’occupation alliée, donc avoir à nouveau une armée pour résister aux paus qui exigeaient leur maintien.