Bonjour, Legestr glaz
C’est vous qui me faites rire. Encore que votre condescendant qualificatif « parisien » destiné à disqualifier mon propos soit aussi ridicule que discourtois.
« Elle n’est pas du tout égale en Bretagne et la culture du « Léon » n’est surtout pas celle décrite dans le « cheval d’orgueil ». »
Là encore : 
Certes, il y a des différences marquées en Bretagne (d’est en ouest et d’argoat en armor), mais peu entre le Léon et la Cornouaille. La langue y est quasiment la même à quelques nuances près, et la culture populaire très proche, quoi que vous en disiez.
Vous parlez du « Cheval d’orgueil ». J’ai lu ce livre naguère, et je peux vous dire que j’y ai retrouvé beaucoup de points communs avec ce que j’ai connu autrefois dans les milieux paysans pauvres... d’Auvergne.
La singularité bigoudène n’est pas si singulière. Et c’est d’ailleurs cela qui explique sans doute le fait que ce prix Goncourt ait été le plus vendu : nombre de gens de différentes régions y ont retrouvé des éléments de leurs propres racines !
« que vont-ils retenir de cette « culture » ? »
Là encore, vous m’amusez. Une culture est évolutive. Or, vous me semblez accroché à une vision de la culture bretonne arrêtée aux années d’après-guerre. Vous semblez être une sorte d’Amish local ! Mais un Amish peu tolérant et peu ouvert qui distribue les bons et les mauvais points.
Mais après tout, pourquoi pas, si cela vous amuse. 