@gruni= « Rappel
du principe d’asymétrie des baratins selon le programmeur italien
Alberto Brandolini :
"La
quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des
idioties est supérieure d’un ordre de grandeur à celle
nécessaire pour les produire." »
Bjour=Ce
constat approximatif mais réel pose, entre autres, le sujet de
l’intérêt des échanges, entre 2 points de vues différents mais
aussi entre un point de vue qui affirme savoir face à un
interlocuteur qui découvre le sujet cherche simplement à
s’informer.
Quand
on lit par exemple les chapouteries de chapoutier, (il apprécie la
pub en bon narcissiste), ou d’autres de la même mouvance, ceux qui
connaissent le sujet observent les « doux rêves » de ces
trolls de 3ème division. Un bon moment à chaque fois pour se
distraire de l’essentiel qui s’observe du terrain. Mais ceux qui ne
connaissent pas ou très peu le sujet peuvent être impressionnés.
Quand à ceux qui croient déjà à ce qu’ils ne peuvent jamais
démontrer, (exemple : l’Ukraine est russe, et on peut en
chasser ou en tuer les habitants pour s’approprier les terres et les
repeupler de russes), il suffit d’observer leurs obsessions pour
comprendre qu’ils ne servent même pas les causes auxquelles ils
adhèrent.
Y-a-t-il
une méthode pour ce sortir de ce piège de sable mouvant ?
Oui : le questionnement, se poser par exemple la question est-ce
ce qu’on me raconte est vrai, et faire un effort cognitif au moins de
premier niveau.
Le
sociologue Gérald Bronner montre bien combien les lecteurs
/auditeurs sont parfois prisonniers de ce qu’ils ont envie de croire.
Donc chercher à leur ouvrir les yeux est effort dérisoire. Sauf
quand il y a un choc physique qui les réveille......Pourtant il faut
le faire, par la méthode des questionnements. Le contraire des états
d’esprit poutiniens : destructions + déportations +
repeuplements + certitudes sans aucunes interrogations, elles sont
interdites.
L’objectif
des poutiniens n’est plus de séduire les populations mais de les
exterminer et de prendre leur territoire aux richesses dont il est
interdit de parler.