@SilentArrow
« J’ai essayé sur ce site en présentant des arguments physiques. Personne n’est venu réfuter ces arguments ou me signaler un article qui les réfuteraient. »
C’est une blague, sur ce site la grande majorité des intervenants est contre le réchauffement climatique, personne ne vous contredira du moment qu’il est d’accord avec vous. Les autres, de guerre lasse, ont renoncé face à la masse des climatosceptiques présent sur ce site
« Cela n’a aucun effet sur des gens comme vous qui estiment sans doute que le bon citoyen se doit de croire ce que racontent la presse sur des phénomènes physiques plutôt qu’un physicien. »
La presse n’est que la courroie de transmission entre les citoyens et les scientifiques spécialisés dans l’étude du climat.
« Moi, je suis honnête, je ne me cache pas derrière les déclarations du GIEC. Je présente mes arguments et me risque ainsi au ridicule au cas où je ferais une erreur de raisonnement, ce qui peut arriver à tout le monde »
Comme je le dis plus haut, ce n’est pas ici que vous prenez le plus de risque du ridicule. Pourquoi se cacher derrière le GIEC. Il pond des rapports avec l’aide de milliers d’études de spécialistes du climat du monde entier.
Je crois qu’il faut être modeste devant la science, je crois aussi que le doute est permis, même des scientifiques doutes c’est d’ailleurs une qualité nécessaire pour un chercheur, et bien sûr aussi un citoyen.
Vous admettez d’ailleurs que tout le monde peut se tromper, et c’est toujours bien de le rappeler. Mon âge ne me permettra peut-être pas de vérifier si la planète devient invivable. D’un autre côté j’admets que le bourrage de crâne des écologistes relayé par les médias devient insupportable à longueur d’années. Le débat doit rester ouvert.
Ce lien que j’ai présenté récemment dans un article sur Mélenchon et le quinoa, pourrait vous intéresser.
« la vague climato-sceptique aurait progressé de 8 points en France. On compte 37 % de climatosceptiques dont 29 % considèrent qu’il y a un changement climatique mais pas d’origine humaine ».