Pas difficile de
comprendre que ce qui en dérange certains en réalité, c’est que nos concitoyens
ont commencé de comprendre qu’il ne peut y avoir de véritable prises en compte
politiques et de réflexion écologiques
que dans une authentique démocratie fondée sur la justice sociale, le partage
équitable des richesses produites et des contraintes nécessaires que nous
imposent les évolutions du climat et la disponibilité des ressources. Sans une
réelle prise en compte des méthodes et technologies mis en œuvre à la pointe du
savoir scientifique disponible et partagé, l’appréciation responsable des
impacts de tels ou tels mode de vie. Nos concitoyens ne veulent pas d’une
écologie du moins-disant pour le plus grand nombre et du privilège et du
superflu pour une minorité et ses troupes. Qui nous feront si besoin sortir de
la démocratie toute imparfaite qu’elle est. Qui nous mèneront à des
catastrophes, des troubles sociaux, des guerres difficilement évitables si nous
continuons de nous laisser aveugler ou de participer à cet aveuglement. Nos concitoyens ne veulent pas d’une écologie
des décideurs, contrôlant l’essentiel des médias, usant du pouvoir des médias
pour imposer leurs vérités et les politiciens à leur service.
Alors bien sûr,
entre autres, la caricature de tout ce qui s’oppose et dérange la ballade
anesthésiante de la doxa en cours qui a besoin pour arriver à ses fins,
maintenir les mêmes, leurs privilèges et
leur immunité de devoir s’expliquer, est absolument indispensable et
incontournable, soigneusement entretenue et répétée. Afin de semer confusion et
division pour tenter de se protéger du pouvoir de l’information factuelle et de
la réflexion qu’elle permet.
Par ailleurs, certains démagogues en recherche permanente de rente électorale invitent aussi les plus récalcitrants à se fourvoyer dans
des impasses pour que dans les évolutions incontournables auxquelles nous
sommes confrontés, l’essentiel de la nature du
pouvoir ne change pas.