@Joséphine
Désolé d’avoir à vous dire ça Joséphine mais il semblerait le sentiment d’injustice vous emporte et... peut-être vous égare.
Quel besoin, d’une part, de donner raison au pouvoir en s’installant dans la haine ?
D’autre part, l’envie de répliquer en faisant retour à l’envoyeur de son accusation est assurément compréhensible mais elle manque sa cible ou mieux, elle lui fait un cadeau.
Dire que les « puissances de ce monde » qui cherchent à détruire les nations et leurs peuples ont la haine c’est les « humaniser » alors qu’elles sont proprement inhumaines.
Les génocidaires peuvent parfois être haineux, comme au Rwanda mais ils peuvent être parfaitement froids, calculateurs et efficaces comme un dératiseur qui veut anéantir une population d’êtres qui ne sont pas ses semblables.
Lorsqu’il n’y a pas d’assimilation de l’autre à soi, lorsqu’on la déshumanisé, il n’y a pas besoin de faire de sentiment pour décider de le détruire et passer à l’acte. Seules comptent les bonnes raisons qu’on a de faire cela.
L’élite a ses bonnes raisons, elle a probablement son plan et l’abjection de ce qui s’est passé à Cherbourg, comme l’abjection du silence politico-médiatique qui a suivi, ne doivent pas nous égarer.
L’émotion suscitée en nous, au lieu d’alimenter la haine, devrait, je crois, nous encourager à construire une vision claire et même un plan d’action pour... mettre l’élite hors d’état de nuire....
Vaste programme où chacun est assuré d’avoir sa place !
Mais cela ne doit pas être la haine qui nous rassemble, bien plutôt l’amour du peuple de France qui le vaut bien même s’il est malade et égaré car bien formaté par, justement, ces « puissances » qui ont fait de nous des individualistes hédonistes et narcissiques n’ayant quasiment plus de solidarité entre eux puisque chacun compte sur l’Etat pour satisfaire au devoir de solidarité.
ça s’est vu ces dernières semaines, il est des populations qui sont encore dans la solidarité ethnique, tribale ou familiale car le système flatte cela alors même que c’est absolument interdit aux autochtones car cela passerait pour du suprémacisme raciste.
Bref, pour conclure, je dirais... Soral a raison !