@Francis, agnotologue (commentaire 10:16)
J’ai regardé la chronologie entre l’autorisation à titre d’urgence des vaccins de nouvelle technologie contre le covid fin 2020 ’’en absence de traitement universellement reconnu’’, et les études d’efficacité de l’ivermectrine contre les symptômes du covid. Cette dernière n’a été reconnue que plus tardivement, courant 2021 ref : Attenuation of clinical and immunological outcomes during SARS-CoV-2 infection by ivermectin, EMBO Molecular Medicine, 25 juin 2021
-Souvenons-nous la ’’compétitions’’ entre Xi, Trump et Poutine, qui dès l’été 2020 annonçaient un vaccin pour la fin de l’année (alors que des labos ’traditionnels’ comme Sanofi et Pasteur l’annonçaient bien plus tard).
Cela a créé dans les milieux médicaux et politiques un effet d’engouement, amplifié par les média.
-Du fait des ’’vagues’’ à répétition -en fait des variants qui supplantaient le précédent comme avait montré Raoult-, l’efficacité en population a été au début difficile à établir, mais la baisse des décès des premières générations vaccinées (les plus fragiles) en différentiel avec la population générale a été mise en lumière vers février.
-La question de l’efficacité rapidement décroissante dans le temps, limitée sur la contagiosité, et plus réduite sur les variants de plus en plus divergeants, sont apparus par la suite ; ainsi que les rebondissements concernant les effets secondaires (le corps médical avait boycotté Astra pour cette raison).
-Mais le dogme sur le caractère ’’indispensable’’ est resté prédominant, pour conduire abusivement à la généralisation et au pass vers la mi-2021, alors que les connaissances d’alors montraient déjà les limites.