@Mohammed-Salah ZELICHE
Vous ne connaissez de moi qu’un article et vous ne voyez en moi qu’un fanatique.
Non, à
moins d’être frériste, vous n’êtes pas un fanatique. Mais vous êtes coincé,
comme je vous l’ai expliqué plus haut. Vous n’avez pas d’autonomie de pensée et
d’expression : vous ne pouvez pas faire la critique du coran, du fait de
la pression sociale, voire plus, de vos coreligionnaires. Ceux qui osent la
faire en France sont obligés à une protection policière. Le CFCM refuse l’apostasie
aux immigrés musulmans et leur libre choix de vie en France.
Alors
que des Français qui critiquent la bible, vous en trouverez à la pelle, même
chez les croyants qui restent encore. Un occidental est capable d’autocritique, un musulman, non, surtout pas devant un « mécréant » la religion l’a culturellement formé comme ça. Ça fausse les
échanges conversationnels comme la coexistence culturelle, vers la position victimaire du musulman. Et il n’est responsable de rien : à une femme voilée un musulman peut toujours
dire : ce n’est pas moi qui l’impose, c’est le coran qui le dit, c’est plus important que la République Française.
Le
droit de tout dire, c’est dans l’ADN Français, son esprit gaulois, pouvoir rire
de tout de soi comme des autres, de Rabelais à Coluche. Ou de librement
polémiquer, avec la loi de 1881 ouvrant droit à la défense de son honneur insulté devant la justice. Ce droit a été barré depuis la loi Gayssot par le lobby
juif, d’une part (même une Simone Veil ou un Pierre Vidal-Naquet n’en voulaient pas) et par
la pression musulmane d’autre part. Depuis, les échange sont déséquilibrés :
les juifs et musulmans ont droits de faire tous les reproches, l’inverse n’est
pas vrai. Le résultat, on le voit : avec Nael, la loi est bien claire :
si un musulman est tué, c’est la France qui est pillée. Alors que si un Oumar perfore
une femme occidentale vivante de bas en haut avec un manche à balai, ça risque
d’être raciste d’en parler.