@Géronimo howakhan
Salut Géronimo.
Merci pour ces appréciations.
Je cherche inlassablement à comprendre comment mieux protéger nos voies respiratoires, ce qu’en dit la « recherche scientifique », pour nous prémunir de ces maladies respiratoires qui peuvent accabler certains d’entre nous à certains moments de l’année (en automne-hiver, bien évidemment, mais aussi en période caniculaire, en été, du fait de la pollution à l’ozone). Beaucoup de tri à réaliser parce que 80% des études scientifiques sont mal construites ou sont « télécommandées » du fait de la pression des « profits » à venir ou à maintenir. La « recherche » est achetée par les milliards de l’industrie pharmaceutique.
Les chercheurs ont parfaitement, « identifié » l’un des maux qui ronge les organismes.
L’homéostasie du glucose dans les voies respiratoires est perturbé chez les personnes qui présentent des problèmes de glycémie (une glycémie trop souvent trop élevée). En conditions physiologiques « normales » le taux de glucose dans le liquide des voies respiratoires est « systématiquement » épuré. Il est alors 10 à 12 fois plus faible que le taux du glucose dans le sang. Des transporteurs « spécifiques » sont à l’oeuvre dans les voies respiratoires pour « chasser » le glucose. Chez les diabétiques, les hyper-glycémiques, les résistants à l’insuline, les insuffisants rénaux, les obèses, et même les personnes en surpoids, le taux de glucose dans le liquide des voies respiratoires est très dangereusement augmenté. Ceci est toujours constaté chez les personnes hospitalisées dans les service d’urgence et en réanimation.
C’est une « constante » chez les personnes qui développent une maladie respiratoire aigüe : elles montrent toutes un taux de glucose dans les voies respiratoires beaucoup trop important. Ce sont très précisément ces personnes qui sont hospitalisées et qui décèdent des suites des infections respiratoires. Leur système immunitaire de première ligne dans les voies respiratoires, du fait de la présence de glucose, n’est plus suffisant pour assurer leur défense, pour combattre les agents pathogènes intervenant en nombre important lors des périodes de pollution augmentée.
A titre d’exemple :
Recommandations formalisées d’experts. Contrôle de
la glycémie en réanimation et en anesthésie
https://sfar.org/wp-content/uploads/2015/10/2b_AFAR_Contrele-de-la-glycemie-en-reanimation-et-en-anesthesie_une-reactualisation-necessaire.pdf