@Luc-Laurent Salvador
"il n’est pas besoin d’une définition de l’éthique pour discuter des
problèmes que pose l’existence d’une éthique embarquée dans une auto.«
»vous jouez inutilement aux savants«
Il ne s’agit point de vouloir jouer au savant, qu’avant toute discussion de clarifier les termes employés dans le sujet en l’occurrence éthique.
Comme vous le dites vous même, vous parlez d’éthique sans avoir au préalable cherché a connaitre toutes les définitions du terme employé.
Deuxièmement, toute votre discussion tourne autour de la morale.
Ce sujet, même si il vous tient a cœur, n’a rien a faire ici. La morale s’applique a l’individu et non a la machine.
Nous vivions dans une République constitutionnelle. Notre vie est gérée par le droit objectif (loi) et non le doit subjectif (morale).
La morale n’a rien a voir dans notre cas, car la source des règles qui régissent notre vie (et donc nos déplacement sur le territoire) viennent de l’autorité publique et non de la conscience de chaque individu.
L’objectif n’est pas le même dans les 2 cas.
la morale tend a rendre l’homme meilleur, le droit est la pour réguler la vie sociale.
La sanction n’est pas la même. Dans le cas de la morale, elle est interne a l’individu (remord), dans le cas du droit, elle est définie par l’autorité publique (externe a l’individu).
Si vous devez passer devant un tribunal, vous pourrez toujours essayer d’invoquer la morale, mais cela risque de faire rire le juge.
Pour finir, le sujet même de votre article est assez »nul« , c’est pour ce la que ma première action a été de le noter assez »bas« .
La première phrase annonce la couleur »Déjà que ceux qui la conçoivent ne savent pas ce qu’ils font... " et prouve par la même
qu’a part vous baser sur des clichés entendus auprès de gens qui ne sont pas du domaine, vous n’avez aucune connaissance dans ce domaine.
bonne journée