Selon mon intuition, ces réformes internes préludent d’une réforme plus généralisée des systèmes de soins et de leurs gestions, et donc une reconversion des politiques sanitaires dans les hôpitaux, et autres établissements de santé.
Les médias ne se sont pas privés de nous rappeler que les services d’Urgences sont débordés, ce qui n’a pas empêché la macronie de supprimer quelques 17 000 lits en 5 ans dans les hôpitaux... Le « quoi qu’il en coûte » est à géométrie variable, on trouve des milliards dans les tiroirs pour l’Ukraine, là où l’hôpital manque cruellement de moyens. Nous n’en sommes plus à un paradoxe près...
Dans les services d’Urgences ou non, on préférera peut-être (?) bientôt y injecter un vaccin d’office plutôt que de prendre en charge la pathologie (grippe ou autres) dans une pratique conventionnelle et renvoyer illico le patient sur le Parking pour éviter qu’il n’encombre les couloirs sur un brancard.
Après l’avènement technocratique dans la gestion de hôpitaux qui aura évincé les les médecins chefs de service du conseil d’administration (dont mon père), lequel date de mémoire des années 80, l’IA « magique » dira quoi faire... et pour les cas douteux qui la laisserait perplexe, prescrira la lithotomie peut-être, autrement appelée excision de la pierre de folie
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Lithotomie