@Hervé Hum
Merci pour cette participation intéressante et argumentée.
Je comprends votre logique, donc effectivement nécessaire de préciser les choses.
Ma conviction est que ce sont les différences qui sont la cause des problèmes.
- Différence de religion (thème à la mode avec les musulmans, même si ce n’est sans doute pas la religion chrétienne qui anime/motive la plupart des français, car en perte d’influence)
- Différence d’us et coutumes : le boubou, tenue même hors religion si c’est le cas de l’abbaya, ...
- Difference de couleur pour reprendre votre « on ne regarde plus la couleur de peau, mais l’adhésion à une culture »
- etc.
Quels sont les points communs de la souche française (toujours pour reprendre votre terme) qui sont donc a contrario des sources de différences avec les autres « non français » (même s’ils ont une CNI française)
- la couleur largement blanche (donc si, on regarde encore la couleur !
- la culture chrétienne (même si cette religion est en perte de vitesse)
Pour réduire les problèmes, l’hexagone serait par exemple dédié à ceux ayant ces 2 caractéristiques (population qui par ailleurs occupe ce territoire depuis de multiples siècles et qui est donc « chez elle »)
Dans le passé, les immigrations italiennes, portugaises, espagnoles, polonaises, ... respectaient ces 2 points et aujourd’hui, ’ils ne le disent pas, souvent difficile de détecter l’origine « immigrée » de nombreuses familles.
Avec cette solution, il n’y a pas de compétition, mais il peut bien sur y avoir coopération
entre pays (commerce, tourisme, projets communs)
Concernant « culte du chef, volonté d’équité sociale, refus du culte du chef » cela ne me semble pas lié au débat.
Je suis très réservé sur votre « la mondialisation qui ne menace en rien les particularisme cultures ». Le quotidien et les multinationales semblent prouver le contraire.
Sur « le fait de naître en un endroit » : effectivement contre le droit du sol qui permet aujourd’hui à des jeunes générations de se revendiquer français tout à fait légalement même s’ils resteront des étrangers pour « les anciens »