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Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.

sur Le sens de l'histoire : de la victime à l'hostie...


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Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 11 septembre 2023 08:52

Oups :  ; J’ai lu en partie. Connaissant très bien le domaine de la psychose (à ce sujet, je conseille : GUY ROSOLATO, essai sur le symbolique, ou le trou noir de la psyché..TUSTIN). Le paranoïaque pour prendre cet exemple, ne peut s’identifier par mimétisme à l’autre car ce serait trop dangeureux, plaçant l’individu en position de SOUMISSION (introjection : cf : Mélanie KLEIN), qui risque d’éveiller des réminescences face à son homosexualité latente et niée. Dit autrement, risque très dangereux de pénétration.. Car pour s’identifier aux autres (mimétisme), il faut être en creux (Lacan), réceptif. D’où la célèbre phrase de Lacan que je retransmets avec inexatitude : la femme désire ce que l’homme ne peut lui donner : le phallus (à mon avis contestable). Le paranoîäque ou la forteresse vide.... Il y aspire tant au mimétisme qu’il se fige en une posture digne du désert des tartare. Le roman traite de la fuite du temps, de l’attente vaine d’une reconnaissance méritée et d’une grande bataille finale, victorieuse et héroïque, dont la routine, la raison et le sort priveront le commandant en second du fort, le commandant Giovanni Drogo, alors même que l’ennemi est aux portes de la citadelle, à la frontière entre « le Royaume » et « l’État du Nord », territoires mythiques séparés par un désert énigmatique, le désert des Tartares.


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