@Opposition contrôlée
Bonjour
Aux erreurs près des chiffres, il est évident que les Pays à forte capacité industrielle sont plus émissifs de GES. Que ces derniers ne restent pas statiques et qu’ils finissent par faire le tour de la boule.
Toutefois, il est évident aussi, que les émissions de GES liées à l’automobile par exemple, dans ou à proximité des métropoles ont un impact local en fonction des conditions météorologique sur l’air respiré. Impact pouvant être augmenté par des GES venant d’ailleurs. (voir les data d’AirParif si tant et qu’elles fussent encore disponibles sur les pics de pollution enregistrés lors de la période covidesque d’enfermement).
Au delà, de toutes les considérations bassement économiques destinées à faire perdurer un modèle indécent doit on se dire que l’on fait assez d’efforts aux autres de les faires ?
Réduire les émissions de GES de la Chine, pourquoi pas celles U.S. aussi, qui n’hésite pas à utiliser l’usine du monde aussi. Nous assistons depuis trop, d’années à de multiples colloques, congrès, grandes réunions de dirigeant Mondiaux, destinés à apaiser les foules, par des grandes décisions dont les objectifs sont irréalisables car portant atteinte à l’économie.
Réduire les émissions de GES de la Chine, puisque ce sont les principaux accusés, ne peut être fait par les gouvernements, mais par les peuples uniquement (appelés bassement consommateurs).
Alors consommons simplement de moins en moins de produit ! c’est tout simple, arrêtons le futile pour revenir à l’essentiel (Un Pays qui produit intensément, mais ne vend pas, se retrouve très rapidement en difficulté). Mais les peuples sont ils prêt à le faire de leur propre chef ?
Je ne le pense pas, hélas. Ces derniers rejetant la faute sur leur gouvernement, pour leur inactions. Qui si ils agissaient pour le bien commun, seraient immédiatement condamnés par la mise en place de mesures liberticides.
Cornélien non ?
Le changement dans la continuité.
Bref, le changement climatique, il est évident que l’activité humaine y contribue pour une part à mon sens difficilement calculable mais bien réelle.
Pour complaire aux « climatosceptiques » Le sursauts de la planète, comme l’éruption volcanique dans les îles Tonga en janvier 2022 la plus forte depuis plusieurs siècles, à propulsé dans l’atmosphère et bien au delà, des quantités fantastiques de gaz, poussières, et autres babioles, dont les scientifiques savent que cela aura un impact rapide sur le climat, sans toutefois être capable à ce jour, soit plus d’un an après, d’en prédire exactement les conséquences, car pour l’instant les effets constatés sont contraire aux théories.
Hormis l’air que l’on respire, le climat et ses conséquences sur notre vie, il ne faut pas oublier les impacts polluant sur les sols et océans, mers, etc.. Qui sont bien plus insidieux et durables, mais là c’est le silence ;. Nous respirerons de l’air pur sur un sol impropre à la vie, quant aux restant n’en parlons pas.