@Joséphine Les psys ne peuvent pas faire grand-chose pour les psychotiques. Ils sont dans le déni et n’ont aucune capacité d’introjection. La preuve, ils s’accrochent à une idée fausse, celle de croire que leurs problème viennent de l’extérieur (un défaut de « fabrication » à la naissance...). Voici ce qui se passe dans le milieu psy. SERGE HEFEZ directement attaqué. l’EXPRESS :
J’apprends à la lecture d’une tribune publiée par votre journal le 15 mars ma nouvelle promotion en tant que psychiatre « transaffirmatif » ! Bigre… Comment recevoir ce nouveau trophée, énoncé dans ce texte comme un gage d’ignorance et d’égarement, par des confrères et parfois amis, auprès desquels je travaille depuis un très grand nombre d’années ? Mon intérêt pour les questions liées à la transidentité m’aurait-il transformé, sous la pression d’offensifs militants, en dangereux extrémiste, aveugle et sourd à la réalité d’une soudaine radicalisation genrée de notre jeunesse, au point d’oublier l’expertise accumulée par quarante années de travail auprès des jeunes et leurs familles, et un nombre important de publications les concernant ?
Plutôt que de me lancer dans une nième escalade symétrique qui semble depuis quelque temps enchanter le landernau psychanalytique, et qui mettrait dos à dos avec la plus grande stupidité des psys transphobes et des psys… transphiles ( ?) je voudrais en toute simplicité décrire un travail et expliciter une position. Le reste est payant