@C’est Nabum

Bonjour, 

J’ai bien aimé votre texte, mais j’ai un peu de mal à en percevoir les aboutissants en matière d’eau. Je connais assez bien la Loire l’ayant vue Fleuve ou ru avec grand étonnement. Mais cela paraissait être une « normalité » pas seulement pour les Ligériens.

Il est vrai que l’eau est indispensable à la vie sur terre et pas que pour l’humain, il se trouve qu’aujourd’hui il y a des variations importantes sur sa « disponibilité » géographique à cause de phénomènes climatiques. Par le passé, ces variations quant elles furent durables ont entraînée des mouvements massif de population, pour s’installer « ailleurs » ayant trouvé des lieux plus propices.

Ca me semble très difficile aujourd’hui. 

Gâchons nous cette ressource, qui pour une fois est quasi inépuisable, je le pense très sincèrement. Devons nous « déssaler » Mers et Océans pour continuer notre « gâchis », il est probable que nous allons devoir le réaliser, tant cette fois ci, la reconstitution naturelle de cette ressource ne se fait plus « comme avant ». 

Notons au passage que le « comme avant » n’utilisais pas les mêmes quantités, le progrès, la révolution industrielle étant passé par là.

J’évoquais des déplacements de masse du à la diminution de la ressource par le passé, je pense qu’il faudrait se préparer à en faire de même, pour faire face aux cours d’eaux quel qu’en soit leur taille, lorsque ces derniers, par un phénomène climatique que nous classons comme « exceptionnel (1) », leur fait reprendre leur cours historique.

(1)

Je m’interroge toujours sur ce classement, basé sur une comptabilisation liée à un début de recensement, ne prenant pas en compte l’avant. Vous avez cité les Ligériens, N’est il pas remarquable qu’au XV ème siècle ce qui fut un port à sel, se retrouve presque 300 ans plus tard une cité sur les Marais. Si demain l’Océan reprenait ses droits et faisait retrouver à cette dernière son prestige d’antan serait ce classé comme un phénomène exceptionnel ?