@robert
Bof. Il y a du bon et du moins bon.
Si on est athée, on en prend plein la gueule : on ne peut pas aimer sans dieu, etc... Pas vraiment tolérant.
On a tous les travers des religieux (le communisme est le mal absolu, anthropocentrisme : seul l’esprit humain est grand).
Mais forcément quand on parle beaucoup, on dit aussi des vérités, ou des choses qui peuvent faire réfléchir et amener à trouver du vrai. En ce sens, il m’a fait « réaliser » que la mode LGBT où chacun croit pouvoir choisir son sexe (peu d’athées adhèrent à cette absurdité mais le système vous mord à la première déclaration légèrement homophobe alors il faut faire gaffe) permettra à la religion de « reprendre les choses en main » tellement on sera allé loin dans l’idiotie et l’irresponsabilité. Vous voyez bien qu’on doit guider vos vies puisque vous faites n’importe quoi si on vous laisse sans « leadership ». Et tant pis si les LGBT sont surreprésentés dans les médias et ne représentent dans les faits presque personnes, ils permettront d’esclavager les autres (un peu comme si on enferme tout le monde parce qu’il y a un criminel).
Le but, c’est que l’élitisme, qui est le mal absolu, qui est l’intolérance même, qui est la raison pour laquelle certains sont esclaves pour que d’autres puissent s’amuser toute leur vie, le but est que cet élitisme survive à toutes les crises, simplement en changeant la présentation des « leaders » : des technocrates aux financiers, on reviendra aux religieux. Et l’IA nous permettra d’être complètement ignares, donc ça tombe plutôt bien, une phase d’obscurantisme illimitée.
Et refuser l’élitisme est bien la seule façon d’aimer les autres à leur juste valeur. Il y a plein de gens excellents (meilleurs que les autres) ... dans un domaine, mais seuls, sans l’assistance réciproque des autres (meilleurs dans d’autres domaines), ils ne sont que des chasseurs-cueilleurs culs-nus dans la brousse.