Ce n’est pas qu’une question de volonté de « réformer l’école » mais aussi et surtout une question de capacité ...
Cett tâche ne peut pas être confiée n ’n’importe quel pékin .
Il faut une solide culture et un solides humanisme ....
Au passage , il n’est pas question que de dyslexie , cad d’incapacité à lire et à comprendre un texte .
Ce qui est ici dénoncé su c’est surtout la dysorthographie cad l’incapacité à écrire correctement un texte ...
Un souvenir : en contrebas d’une vaste école de centre ville , avec un directeur déchargé de classes ,mais très bien vu des hiérarchies , j’ai vu s’installer au fil des ans des « cabinets d’orthophonistes » à la pelle ... !
Les orthophonistes ont pour métier d’aider des enfants ont des difficultés à parler correctement :( ils mélangent les syllabes, les phonèmes, ils inventent des mots bref ils baragouinent ...)
Je pense qu’à la base il s’agit d’un « effet secondaire » de l’apprentissage de la lecture par la méthode globale , qui a été sévèrement et systématiquement imposée aux enseignants .
Quiconque faisait de la « syllabique » avait droit à une levée de boucliers ,se faisait salement tancer par la hiérarchie dans sa totalité .
Une chasse aux sorcières était déclenchée et sa progression de carrière réduite à néant ...
Et pourtant dans l’école du passé , de nos nostalgies ,notre référence celle qui donnait les meilleurs résultats ,celle de Jules Ferry et de la troisième République , le Ba ba était de rigueur ...(et non les « étiquettes » que les élèves faisaient semblant de lire en reconnaissant la forme et la couleur desdites étiquettes ... !
Elle , la syllabique , avec plein d’autres « disciplines » qui sont évoquées de façon récurrente .. ’’comme par exemple l’enseignement de l’histoire évènementielle avec ses frises , ses vedettes (« nos ancêtres les Gaulois » , Vercingétorix , Jeanne d’arc , Clovis, etc etc .... qui structuraient le temps passé et donnaient des repères , comme les livres et la lecture d’ailleurs . !
Aussi en ce temps là on équipait, on fournissait les écoliers de manuels scolaires qui étaient très valorisés et protégés , comme d’ailleurs l’entretien du matériel scolaire , celui des pupitres en bois que nous passions au papier de verre et cirions périodiquement ....
ils était considérés comme des « outils » et comme tels avaient droit à toutes les attentions .
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