Le régime politique d’occident et ses serviteurs zélés nous ont habitués depuis quelques temps à deux défauts pervers qui comme par hasard font le tour de n’importe quel problème, n’importe quel évènement, disons pirouette cacahuète, ni vu ni connu j’t’ embrouille.

D’une part une arrogance souvent mâtinée d’incompétence, de quelques sous-fifres certes (! ), donc bluff à volonté, mensonges, promesses et autres broutilles d’autre part d’une duplicité

maléfique, qui trahit une indifférence à la vie du peuple quel qu’il soit, « le sien » ( ça me hérisse, je ne suis pas du peuple de Macron ni aucun autre d’entre nous, idem pour les Israéliens... et les autres ) et envisage des « sacrifices », qui ne leur coûte pas cher, pour arriver à leurs fins.

Nous assistons à l’apothéose du feu d’artifice avec, d’une manière ou d’une autre, l’attitude des nazis d’Israël. ( qu’on m’enferme, quand on appelle religion des ordres à exterminer un peuple, c’est nazi ; certes les nazis allemands n’avaient rien inventé, si ? ) ; donc soit Netanyahu savait et a échafaudé un plan machiavélique ( comme si bien écrit dans l’article d’Elric Menescire ) soit il l’ignorait et s’il l’ignorait c’était dû à la suffisance de leur supériorité. Connaissant la réelle et évidente paranoïa des Israéliens, je penche plutôt pour la première solution. les paranoïaques ne baissant jamais la vigilance. Ce qui ne serait pas le cas des États Unis d’Amérique.

... sinon, dans la nature, c’est la proie blessée qui devient dangereuse, si elle est taureau, éléphant ou cerf, le chevreuil étant déjà trop petit ! en revanche le prédateur est excité par l’attaque de la proie, et c’est ce qui se passe, car dangereux, il l’est depuis le début. Demandez aux proies.

Mais l’image est intéressante car les Juifs par tradition de faiblesse en leur territoire furent on le sait souvent les boucs émissaires, les rejetés, les proies.

Il se joue là sûrement quelque chose de biblique mais sur le champ de bataille de ce jour, l’antique proie est devenue prédateur, sans en avoir acquis la morale, donc, pourquoi pas, la voir comme une proie acculée ?