@Gollum
On n’est pas « adepte de la causalité » on l’accepte ou non, mais dans la réalité, on ne peut pas faire autrement que de l’accepter !
Sinon, je suis d’accord avec vous sur le fait que Dieu ne peut que respecter les lois de la causalité, sauf à renoncer à la réalité, mais il ne peut pas faire comme Macron, du « en même temps ».
La notion de « libre arbitre » est d’être, vivre en harmonie avec soi même et non pas de faire n’importe quoi, car cela n’a aucun sens, c’est une totale aberration.
Cela dit, partir du principe qu’une chose ne peut pas se définir par elle même mais uniquement par son contraire et l’appliquer à l’acte de création met en opposition la réalité et l’imaginaire comme étant les deux faces d’une même pièce.
Ainsi, il est impossible de connaître la réalité sans l’imaginaire et l’imaginaire sans la réalité. Comme je l’écris ci-dessus, si on part de l’imaginaire qui est le propre de l’être en tant que tel, alors, la première des choses que peut imaginer un être, c’est la réalité, donc, une forme de causalité. Mais la géométrie tout comme les mathématiques obéissent à leur propres conditions d’existence, indépendamment de celui qui imagine qui ne peut donc que se soumettre à la causalité ou bien y renoncer.
Et c’est vérifiable empiriquement dans tous les domaines de la science et à toutes les échelles observables de l’Univers.
Le monde spirituel n’échappe donc pas à la causalité par contraste et réciproquement. Et ce même contraste permet de connaître le monde spirituel.
Bref, tout cela ouvre sur une conscience que l’on peut qualifier d’apocalypse de la conscience/connaissance ou boite de Pandore.
La réponse de JPCiron me laisse penser qu’il ne veut pas savoir et je le comprends