@JPCiron
Et pourtant, vos propres articles soutiennent le contraire !
En effet, c’est une chose d’avoir des règles ou lois face auxquelles on tente de ne pas s’y plier parce que son intérêt personnel nous y pousse MAIS où la majorité des gens se contrôle, s’interdisent de violer la loi pour ne pas risquer les sanctions prévues par la loi en cas de manquement et une autre que de ne pas avoir de lois du tout, c’est à dire, où c’est le chaos.
Dans tous les cas, on est toujours avec la loi du plus fort, mais dans le premier cas, la force est centralisée, dans l’autre cas, elle n’a pas de centre et donc, interdit toute forme de vie sociale au delà d’une communauté qui précisément s’accorde sur une loi commune. Bref, vous n’en sortirez pas, l’anarchie au sens propre du terme est une impossibilité physique. En réalité, la philosophie appelé anarchie est une panarchie, donc, où le pouvoir est répartie entre tous et donc implique une loi commune reconnu par l’écrasante majorité et qui peut l’imposer à la minorité qui l’a refuse parce que chacun voulant jouer son propre jeu avec ses propres règles.
Bref, ce que vous écrivez sur le fait que chacun joue son propre jeu, avec ses propres règles, vaut uniquement lorsque la détention de la force réside dans la personne ou communauté (toujours dominé par une ou quelques personnes) se faisant concurrence avec aucune force au dessus d’elles, mais ne vaut pas dès lors où la force est détenu par un entité ou être supérieur à tous les autres.
Encore une fois, cela ne veut pas dire que personne ne peut ou ne veut pas jouer son propre jeu, avec ses propres règles, mais qu’il se heurte à la loi commune et dont la communauté détient la force supérieure qui pourra lui imposer sa loi, donc, lui interdire de jouer son propre jeu avec ses propres règles soit en la mettant en prison, c’est à dire, où ses règles seront réduite à son seul imaginaire, soit en la tuant.
Pour pouvoir comprendre, vous devez raisonner avec le principe de fractalisation en tête. C’est à dire, parle t’on d’une relation d’inclusion sociale ou d’exclusion ?
A l’heure actuelle, les relations entre les peuples est une relation d’exclusion que l’on appelle « souveraineté », tandis qu’à l’intérieur d’une nation il s’agit de relations d’inclusion, où la souveraineté n’existe potentiellement que pour celui ou ceux qui ont le contrôle de la force, mais doivent le plus souvent faire semblant de se soumettre à la loi commune.