@Oliver Starc
En revanche, certaines théories, comme celles de la
gravité quantique, suggèrent que le temps pourrait être pixelisée à ces
échelles infiniment petites. Mais, actuellement, il n’y a pas de
consensus scientifique sur la nature continue ou discontinue du temps à
ces échelles, et la question demeure.
Le principe de causalité n’interdit pas qu’il existe des échelles inférieures à celle que nous connaissons, mais il pose une condition incontournable, qu’il y ait un sens à ces échelles inférieures.
Autrement dit, tant que vous ne pouvez pas donner un sens à ces échelles, alors, elles n’ont pas lieu d’exister.
L’échelle inférieure qui peut se passer d’une pixélisation fondé sur la vitesse de mouvement comme celle de la lumière, est la logique pure qui n’implique pas de vitesse, celle-ci peut être infini, mais impose un ordre de précession. L’effet ne peut pas précéder la cause !
C’est cette échelle logique qui vous permet de conceptualiser votre théorie, mais qui implique la notion de masse dès lors où vous appliquez la logique dans une processus évolutif spatio-temporel. C’est à dire, pour donner un sens à l’existant et à cette même logique dans une relation d’espace-temps, donc, par changement d’état de l’être en tant qu’espace infini.
Si vous reprenez mes commentaires précédents, un élément sous entendu peut vous apparaître quasiment comme une révélation... !