@chapoutier
J’ai donné l’exemple du gâteau non par rapport à sa recette ou sa décomposition dans l’espace-temps, c’est absurde, mais pour y appliquer la théorie de la PE/MR où je lui montre que si je divise mon gâteau (dimension ou taille fini) en parts égales, j’aurai toujours un nombre fini de parts, mais parce que j’aurai défini une unité de mesure fixe qui sera différente selon le nombre de parts et où je pourrai avoir une part restante qui soit une fraction d’une part, mais une part restante fini.
A contrario, si j’applique la division infini de la part restante de la PE/MR, alors, j’obtiendrai un nombre infini de parts, mais a des échelles qui atteindront relativement vite la longueur limite de Planck et au delà de laquelle commence l’Univers imaginaire, qui ne connaît pas de limites propres.
De fait, ce que montre la théorie d’Olivier Dusong, c’est la nécessité de définir une unité de mesure fondamentale pour séparer la réalité physique de l’imaginaire. Qui est toujours motivé par la notion de sens et c’est ce dernier point qu’il refuse de voir.
En ceci, sa remarque avec sa PE/MR est très remarquable de simplicité et d’évidence, mais au lieu de le voir, il s’obstine à chercher ailleurs, là où seul subsiste son propre imaginaire, qui n’est pas limité par aucune loi physique ou théorique.
Résultat, il s’enfonce sans vouloir le réaliser dans des raisonnement comme vous écrivez, aberrants ou aporie. C’est dommage !